• Descriptions Apparence physique:- Spoiler:
Ezio a les cheveux lisses noirs corbeau, attribut de son père, qu'il laisse tomber de tous les côtés de son crâne. Néanmoins, une petite ouverture au niveau du front lui permet de garder une grande visibilité. Lorsque le vent souffle dans ses cheveux, ce voleur semble encore plus mystérieux et devient hautement plus séduisant. Sa peau est pâle, d’un beige laiteux, tranchant fortement avec sa chevelure. Il a les yeux noirs, tels des abysses sans fond, insondables. Ceux-ci viennent de sa mère. Les lignes de sa mâchoire sont fines, mais masculines, son nez est droit et délicat, ses lèvres sont minces, rosées, marqués par quelques rides à la commissure. Ses oreilles sont pointues. Une imposante cicatrice en forme de croix, s'étendant jusqu'à son œil droit, le marquera toute sa vie, signe d'un affrontement. Le tout agencé ensemble fait que le visage de cet homme est très agréables, esthétiquement parlant. Ezio est plutôt grand, mesurant dans les 1 mètre 80. Le demi-elfe est musclé, mais a gardé sa silhouette svelte, raison à des heures d'entrainement. Sa puissance réside dans son agilité, et ses yeux perçants. Sans sa masse musculaire, il ne pourrait pas escalader ainsi murs et barricades. Ses habits font très "bourgeois", contrastant souvent avec les taches du sang qui se collent dessus. Quelques dentelles, quelques bouts de cuir, et le tour est joué.
Caractère/Mental:Passons maintenant à la description mentale d'Ezio. Sa personnalité n'est pas très complexe, mais plutôt... originale. En étudiant son cas, on peut y trouver une légère schizophrénie. Oui, comme si son côté elfe et humain se battaient dans son esprit. Ne vous méprenez pas, il ne parle pas tout seul, il ne fait aucune crise et ne se met pas à dire "mon précieux" quand il voit un anneau (de la terre du milieu ou non). Non, disons que pour certaines situations, il égorgera un enfant (et le mettra au congélateur), dans d'autres il cueillera des fleurs. A part ce petit "problème", il a un charisme approuvé par tous, et n'hésite pas à faire part de ses idées quand il le juge nécessaire. Il porte un profond respect pour le sexe opposé, qu'il adore charmer (à succès ou non). Tout cela ne l'empêche pas d'avoir un humour bien particulier, qu'on peut qualifier de noir, ou de satyrique. Mais bien évidemment, rien de salace. Ezio est quelqu'un de malhonnête, pas vraiment fréquentable. Il préfère trainer dans un bordel plutôt que d'affronter un dragon sabre au clair. Oui, il est assez lâche, paresseux même. Il prend la vie sans penser au lendemain, sachant que sa vie peut s'arrêter à tout moment. Il n'aime que les femmes et l'argent, il ne prête allégeance à personne. Malgré son manque de force face à un guerrier, il utilise sa ruse et sa dextérité pour se sortir de situations périlleuses. Son but dans la vie ? Il n'en a pas. Il veut juste profiter un maximum. Ses idées politiques sont celles de l'extrême gauche, prônant une dictature du prolétariat. C'est sans doute à cause de ses opinions que son alignement est chaotique bon. Il n'apprécie pas la bourgeoisie, encore moins la noblesse. Il aime par dessus tout aider son prochain, ce qui explique son métier de "chasseur de prime".
Pouvoir:Fort : Acrobaties, camouflages, escalade, endurance, vitesse, dextérité, précision. En tant que demi-elfe, il est nyctalope (18m). Sang froid, réflexion, agilité, adresse à l'arc. Diplomatie, renseignement, perception auditive et visuelle, immunisé contre les sorts de type sommeil, détection, fouille.
Faible : Aucun talent magique, donc aucune résistance mentale (sauf sort de type sommeil car demi-elfe). De plus, il ne fait pas le poids niveau physique face à un guerrier. Il préfère donc esquiver les combats. Son plus gros point faible reste son attirance pour les femmes. Il se laisse berner par la plupart d'entre elles. Aucune armure, impatient, émotif, attiré par l'or et trop sûr de soi.
Histoire:Dans les terres elfiques du sud réside un petit village de pêcheur nommé Otar. Ses quelques habitants vivent paisiblement, leur vie est rythmé par leurs métiers d'artisanat et les ragots du village. Parmi ces braves gens, une elfe gracieuse vivait dans une petite maison, proche du centre du village. Elle s'appelait Aeluna, elle vivait de son métier de fleuriste depuis la mort de ses parents. Ses revenus étaient modestes, mais sa vie lui convenait... en partie du moins. Sa plus grande tristesse était son néant amoureux. Elle qui approchait des 60 ans, elle qui désirait plus que tout fonder une famille, elle n'avait eut aucun homme dans sa vie. Plus le temps passait, plus elle s'inquiétait de finir vieille fille. Quand un jour, un marchand rentra dans la boutique. Quand la vendeuse croisa son regard, elle tomba littéralement sous le charme. Il n'était pas particulièrement beau, mais une telle prestance émanait de ce personnage. Les évènements s'enchainèrent : d'un rendez-vous galant, les amoureux arrivèrent au dernier café, à la relation, au mariage et... à la naissance d'un petit garçon qu'ils nommèrent : Ezio. Le petit prit le nom de son père : Auditore (prononcez : "Aoditoré"). Tous les trois vécurent 5 années de bonheurs, jusqu'au jour où le père de famille disparut du jour au lendemain. Dans l'incompréhension d'Ezio, n'adressa plus la parole à sa mère. Il ravala à chaque fois ses larmes en voyant le père de ses camardes. Son seul moyen d'extérioriser sa douleur fut le sport. Il pratiqua la course, la lutte, le canoë, l'équitation.... Avant de se tourner vers le noble art qu'est le combat. Il apprit en autodidacte, et utilisa l'argent que son père avait laissé pour s'acheter arme et habits qui lui étaient nécessaires. Il s'habilla de façon très noble, ne cessant de coucher avec les filles du village et des environs, détroussant les bourgeois, crachant sur les nobles. Il s'entraina ainsi jusqu'à 21 ans. Jusqu'à un jour très précis... Ezio pensait que rien de pire que la disparition de son père pouvait lui arriver. Il se trompa... Quand, un jour qu'il rentrait de la mer d'une pêche, il trouva sa maison bizarrement silencieuse... Il appela plusieurs fois sa mère, visita chaque pièce... En vain. En passant devant la fenêtre, il remarqua une forme étrange dans le jardin, qui se balançait au gré du vent. Il sortit à toute vitesse et ce qu'il vit le marqua à vie. Sa mère, pendu au dessus d'un tabouret. Il hurla d'horreur et arracha la corde qui la maintenait en lévitation. En touchant son corps froid, il comprit que c'était trop tard. Il rentra dans une rage folle, écrasant le chat à coup de pierre, pleurant toutes les larmes de son corps... Il se sentit tellement mal qu'il s'endormit sur l'herbe, dans un semi-coma. Il se réveilla le lendemain, en milieu d'après-midi. Il enterra sa mère, sans en parler à personne, dans le jardin. Il décida calmement de mener son enquête pour comprendre ce qu'il s'est passé... et se venger. Il trouva rapidement une lettre ouverte sur la commode du salon. Sa main trembla, mais il fit l'effort de la prendre et il l'a lu...
- Citation :
- Aeluna, cesse de m'écrire autant de lettre. Ne comprends-tu pas que je ne t'aime pas et que je ne t'ai jamais aimé ?! Notre fils n'est qu'un faible, et j'en ai connu d'autres après toi qui était bien mieux. Comme si quelqu'un pouvait te trouver intéressante, pauvre femme.
Adieu
Alors c'était donc ça l'histoire... Son père était parti pour de nouvelles conquêtes ? On pourrait penser qu'Ezio choisira la voie de la haine, de courir après ce père. Mais non, il interpréta cette missive d'une autre façon. Ah, on pensait qu'il était faible ? Qu'il ne valait rien ? Il allait montrer au monde, montrer à tout le monde de quoi il est capable. Après une bonne nuit de sommeil, il décida de partir chez les hommes. Là-bas il trouvera bien un métier et une maison. Et puis, il pourrait instaurer ses opinions politiques dans la capitale humaine... (voir descriptions mentales).
Aujourd'hui, Ezio vit de son métier de chasseur de prime, tout en volant les représentants de la noblesse et de la bourgeoisie.
Remarque?: Un peu compliqué, mais un système vraiment original et prometteur.
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