Missive et mission

Maître du Jeu

Balengar n'est pas bien bavard. Certes. Cette mission à l'air de le fermer... Il ne s'attendait surement pas à 'ça'. Lui ? Se retrouver mêlé à deux mercenaires racolés sur le devant d'un bâtiment officiel ?
Bras croisés, air septique et peu enjoué, il réceptionnera l'or en tout acompte à la réussite de la mission et laissera son commanditaire quitter la nouvelle troupe ainsi formée...

La remarque de son voisin fera couler sur lui un œil torve rehaussé d'un sourcil au sommet brisé.
"... S'il nous attend alors nous sommes fait."
Dira-t-il d'une voix grognante, espérant, à l'inverse que ce n'est pas lui qui se laisserait surprendre par quoi ou qui que ce soit...
Puis il suivra le petit duo d'un pas un peu trainant, fermant la marche, observant les alentours d'un regard bas et grogneur.
Non, cette mission le gonflait déjà. Mais il l'accomplirait... L'honneur de sa famille était en jeu après tout. On lui avait demandé de venir de si loin... pour 'ça'.
-
Les quartiers se succèdent et, bientôt, la muraille de la ville se dévoile plus clairement, libérée jusqu'au pied par les quais et les docks.
Le fleuve gronde, les voiles claquent et les marins crient quelques ordres à ceux qui hissent et tirent les cordages. Des caisses s’entrechoquent, les grues grincent...
Le parfum du fleuve est glacé, il embaume la vase et le poisson, les épices venues de loin.
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Devant le groupe, qui se présente sur une grande et longue place pavée devant les bords de quais, plusieurs dockers attendent et marchent. On transporte des marchandises d'un entrepôt à l'autre.
Devant les rares maisons, quelques désœuvrés attendent, mangent leur venaison ou se prêtent à des jeux de patience.
Il y aura bien un nain pour les renseigner... mais il semble qu'une maison, ressemblant à la 'description' de Folon, se tienne justement là... à quelques pas.
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La bicoque est un peu isolée du reste. Sans étage, quelques tissus occultent les fenêtres et une porte, des murs d'un bois défraichi et décoloré par le soleil.
Proche du quai, elle possède un tas de filets entreposé dans un coin et quelques séchoirs à poissons bien rempli.
Une maison de pêcheur, en somme ?
Si le groupe s'approche, il constatera que la porte n'est pas verrouillée -elle n'est pas ouverte non plus-.

...~oOo~...

Invité

Le trajet avait semblé long, le silence du grand brun en était une des raisons, la seconde était l'élaboration de plans multiples des plus simples aux plus complexes qui lui avait trotté dans la tête. "A part des sous-vêtement et peut être des ration de voyage, je me demande bien qu'es que l'on va pouvoir trouver d'autre là dedans. Reste encore a savoir si il avait pas prévu le coup et avait vidé de font en comble les lieux" Regardant en coin les dockers vider et remplir les vaisseaux à quai . "Si notre bonhomme n'est pas encore dans l'un de ces rafiots a jouer le mort alors effectivement il ce pourrait être dans les environs." Se retournant a nouveau face aux dockers il ce grattas la tête la mains dissimulé dans sa longue chevelure

Cronos fit alors face à ses nouveaux compagnons. Ce rapprochant pour parler plus faiblement.
"Nous devons agir discrètement. Je vais déguisé en dockers, ainsi je frapperais à la porte sans éveiller de soupçons.
Si notre nains est présent, je blufferait prétextant une erreurs. En revanche si personne ouvre ou ce présente a le fenêtre nous patienterons une heure moins fréquente pour y pénétré par effraction .
Kikri, tu observera la fenêtres en te positionnant de l'autre coté du quais.
Belangar, tu sera cacher à mes côté, si la porte s'ouvre et que mon déguisement ne le trompe pas, tu sera mieux a même de le neutralisé rapidement ." Regardant longuement ces deux compagnons pour être certaine qu'ils avaient entendu les consignes.

Si aucun des deux avaient une idée a proposer, ou une objection sur le déroulé, il se reculerait dans dans un lieu plus discret afin de ce maquillé pour ce faire passer pour un docker.

Invité

Marcher, quais! Marcher, quais !
OH les jolis bateaux... Qui voguent sur l'eau...
Éprise par la fougue du moment. Kikri se delecta d'une comtine de son enfance, à tue-tête et peu importe l'oreille musicale, ou pas, de ses compagnons, elle se laissait aller. A leur grand damne comme vous pouvez le présumer. Ce fut un doux mélange de petits couinements aiguës et de cris de gobelins qui pourrait enchanter n'importe quel amateur de grand art! Une telle imitation, aussi naturelle, de quoi faire frémir un simple mortel.

Cronos se tourna tout à coût, elle lui sourit en continuant de chanter, fière de son interprétation ! Cela dit, il n'avait à priori rien d'intéressant à dire à ce sujet. Il leur proposa un plan. Une embuscade.. Sérieusement.. Il voulait se déguiser et se maquiller.
Voilà donc un véritable dilemme, soit elle lui disait la vérité et lui expliquait qu'un mec bizarre qui viendrait frapper à sa porte alors qu'il est recherché ne va faire qu'eveiller ses soupçons, soit elle jouait le jeu à fond pour voir jusqu'où il irait ce vieux bougre... Dilemme...
Elle caressa son poitraille et laissa retomber sa main qui effleura sa bourse.. Sa décision était prise.

-Cher compagnon, ne croyez-vous pas qu'il serait plus judicieux d'envoyer une autre personne frapper à sa porte ? Une personne qui saurait le faire sourire et lui faire baisser sa garde. Une personne qu'il ne soupçonnerait pas, dit elle en se caressa les cheveux. Cela dit, si mon charme ne fait d'effet qu'à la devanture de sa porte, vous serez non loin prêt à arborer votre élégance digne d'un paon !

Elle retint un rictus, hors de question de l'empêcher de se maquiller comme un gigolo aux moeurs sodomites, elle payerait pour voir ça, ou presque !

Elle se tourna à nouveau vers les quais, admira les bateaux et hocha la tête, il pouvait être n'importe tout et s'il était dans un de ces bateaux, il les verrait probablement approcher de sa demeure. De plus ils ne savaient guère s'il avait des complices. S'il partirait par la mer ou en des terres plus reculées. Ils n'avaient même pas pris la peine de demander au vieillard qui serait supposé porter intérêt à l'objet du délit.
Elle leva la main droite, pour signifier qu'elle allait prendre parole.

-je vous prie de m'accorder un peu d'attention. Je voudrais aller faire le tour des navires et leur demander où ils se dirigent, vers quelles villes. De sorte à savoir dans lequel notre suspect pourrait potentiellement se cacher. Il ira certainement en direction d'une grande ville afin de trouver preneur plus facilement s'il n'a pas de commanditaire. Aussi, quelqu'un devrait demander quelles sont, en dehors de ces enceintes, les villes les plus proches à pied. Dans sa hâte, notre homme ne pourrait aller bien loin. Cela nous permettrait de nous poser les bonnes questions et de regrouper un maximum d'informations, je pense. Qu'en dites-vous ?
Nous pouvons aussi demander si quelqu'un ne l'a pas aperçut dans le coin et vers où il allait. Si à la nuit tombée nous n'avons toujours rien, alors nous pourront entrer chez lui.

Maître du Jeu

En voilà une qui chante...
-Même s'il ne s'agit pas d'une représentation, la couleur du chant en passe par cette règle 'Chant'- soit 1D10 (-2 sans représentation)
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La donzelle chante et, malgré ce qu'elle en pense, sa voix n'est ni affreuse ni enchanteresse... En réalité, elle s'exprime d'un timbre qui ne 'dérangera' personne.
-
Le groupe s'arrête et s'interroge.
Le nain blond se 'gratte la tête'. Il se dit que le mieux serait de cacher son identité ? De s'apparenter au bon gars œuvrant sur les quais ?

Croisant les bras, Balengar jette un œil aux différents transporteurs. Certains sont habillés sobrement, d'autres ont la tenue de leur docker -ça lui permet probablement de voir ses ouvriers de loin...-
Hélas, il ne s'agit pas là d'un uniforme de Garde ou de Militaire... tout au plus une tenue plus ou moins différente selon les entrepôts tenus par des prestataires privés... Voire des marins, vivants sur quelques bâtiments, en particulier ?

Balengar hausse le sourcil. Il ne note aucune distinction physique, qui permettrait à Cronos de se 'maquiller' pour 'ressembler à'. S'il avait été question de se faire passer pour roturier 'sale' ou de transformer son visage 'connu' pour le cacher -sans adapter sa tenue- alors... oui ?

"Je ne vois pas l'intérêt de te maquiller pour te faire passer pour l'un d'eux..." Désigne-t-il de l'index tout en gardant les bras croisés, penchant légèrement le visage en sillonnant une nouvelle fois le quai du regard.
"Tu prendrais une caisse abandonnée que tu s'rais plus crédible qu'avec du gras au visage. Tout tient au discours que tu porteras face au gars qui ouvre sa porte...
Le but étant... juste de savoir s'il est là ?
J'rappelle que notre commanditaire à dit que la maison était vide aux aurores..."
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Ça reste bien loin du -gigolo aux mœurs 'sodomites'-.
L’évocation même de cette image 'poussée' tombe d'ailleurs dans un travers. Kikri glisse sur une pente en regardant ce coéquipier quelle ne connait que depuis... une heure ? Quid alors... de cette réflexion qu'elle se fait.
Kikri serait-elle homophobe ? Non pas que la chose est à proscrire puisqu'elle est 'réelle' dans 'ce monde'. Mais l'association d'idée est très biaisée et limite hors propos. La question s'impose.

En l'état, si la mission suggère que cette idée 'précise' est un plan 'valable', la transformation en 'prostitué' ou toute autre métier faisant les frais de préjugés aurait été encouragé.
Les préjugés d'un être sur Galgals sont conservés. En revanche, tout élément provenant de l'extérieur est à proscrire.
Kikri était-elle donc homophobe ? Ou l'idée vient-elle d'ailleurs ?
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Quoi qu'il en soit, il est bien question 'ici' de se maquiller en élément appartenant au quai. En l'état, rien ne semble encourager l'idée de se maquiller, puisqu'aucun ne porte les marques de son métier au visage et que l'homme qu'il cherche ne les connait pas.
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Cronos est-il du genre à savoir 'imiter' son prochain sans cafouiller ? Sans ce savoir-faire -cette intention de pouvoir jouer le jeu d'être quelqu'un d'autre- le maquillage ne lui servirait qu'à masquer son identité auprès de ceux qui le connaissent déjà.
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Kikri propose d'aller visiter les bateaux à quai.
Balengar hausse le second sourcil.
"Ce fleuve va jusqu'à l'océan à l'Est du monde. Il dessert quelques villes... et il passe devant les Havres.
Ça me semble très hasardeux de s'accrocher aux destinations de chacun de ses bâtiments... il faudrait alors faire le tour du monde.
Plutôt que de passer cette porte une fois la lourde tache de visiter chaque navire, et dans l'idée que chacun nous révélerait sa destination...... je suggère d'enfoncer cette porte... que je soupçonne d'être ouverte... puisque notre commanditaire a dit y être entré au matin..."
Il soupire et décroise.
"Donc selon, toi..." commence-t-il en désignant Cronos "Notre homme est probablement chez lui. Je propose que le plus sociale et 'bonne figure' d'entre nous tente sa chance à le faire sortir. Maintenant.

Selon toi..." il désigne Kikri " notre homme est probablement absent de chez lui. Tu suggères de fouiller les alentours jusqu'à la tombée de la nuit pour ensuite passer son pallier."

"Prenez donc une décision, j'ai exprimé ce que j'en pense. Et mon avis est de passer ce pallier d'une façon ou d'une autre avant d'être repéré comme des intrus une fois la nuit tombée et le calme revenu sur les quais..."

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Admin

Le membre 'Le Narrateur' a effectué l'action suivante : Dés du destin

'1D10' :

Invité

Arrêté dans son élan Cronos bouillonnait intérieurement de pas avoir eu une meilleur idée. Il pensait qu'un maquillage pouvait le rendre plus crédible. La marche lui avait fait oublié les mot de leur commanditaire. Son plan tombait a l'eau, le soulageant, un peut plus il serrait passer pour un rigolo face a ces deux camarades.
Ses yeux regardaient le quai pendant que Belangar exposait sa vision.
" Belangar a raison, ces navires on de multiples destinations. Chercher dès a présent dans l'un d'eux serait une perte de temps. Il était surement en lien avec l'une des compagnies, nous devons trouver une piste ."

Il observait l'entrée de la maison qu'ils devaient infiltrées, un sourcil levé.
"Bin alors si il te plait a y aller je te laisse la priorité, ton sourire vaudrait mieux que mon maquillage grossier" déclara t'il a l'intention de Kikri lui portant un regard de sympathie "Il y aura sans doute personnes. Nous pouvons pas prendre le risque de foncé tête baiser. Kikri vas toquer et nous serons dans son ombre. Si personne répond, on force l'entrée." dis t'il a Belangar.
IL avait fini les paumes des mains ouvertes en direction du ciel, un geste qui voulais dire qu'il attendait un acquiescement ou qu'il était a l'écoute d'une autre idées en espérant que l'exposer du plan était claire et sans objection .

Invité

Il y avait en effet beaucoup de points à soulever. Kikri aurait-elle oublier ses enseignements ? A trop vouloir brûler les étapes, la mission allait leur glisser des doigts.
Dommage pour son petit plaisir. Elle se sentait tout de même toisé, aurait-elle parlé des sodomites à haute voix ? Non mais peu importe, tout est sujet au rire. Soit nous rions de tout, soit de rien et si c'est au dépend des autres c'est encore plus drôle ! Elle même s'était travesti par le passé, pour s'amuser, pour surprendre et même pour l'amour de son père.. Et oui, il rêvait d'avoir un fils !

Kikri n'avait pas pris conscience que ce port desservait autant de destinations. Cela posait en effet problème. Cela dit il fallait bien commencer quelque part. Quelqu'un savait bien quelque chose quelque part ! Que de frustration.. Son esprit se perdit, se délectant d'un interrogatoire imaginaire.. Cela serait si simple.

Cronos l'invita à frapper à la porte. Elle baissa son visage, se passa la main dans les cheveux pour se gratter, se coiffer, nul ne put dire.. Et la releva un grand sourire tiré jusqu'aux oreilles affiché sur son visage apparaissant légèrement macabre. Et elle pensait mettre en avant son Sex-appeal.

-Bon et bien je me lance !

Elle s'approcha de la porte, gonfla sa poitrine et frappa trois fois.

Maître du Jeu

Kikri est d'une nature mesquine voire mauvaise à ses heures. Rire au dépend de l'autre pour son bon plaisir fait parti de ses bases. La question n'est pas de savoir si sa pensée a été prononcée à haute voix mais bien de confirmer le tableau de cette naine dont l'esprit fait rapidement le parallèle entre 'maquillage' à visée identitaire et 'maquillage' à des fins sexuelles.
Aucune remontrance, aucun jugement sur ce point. Il n'y a là qu'un besoin de cerner la peinture qui se dessine sous nos doigts afin de l'ancrer.
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Décoloré par le temps et le soleil, le bois ancien de la porte craque sous la frappe et Kikri l'assomma par trois fois.
En arrière d'elle, Balengar et Cronos attendent. Le Mercenaire s'est placé au flanc de la maison. Son regard, d'abord porté en direction de l'entrée, fini par s'échapper vers le quai qu'il observe d'un œil distrait... peu alerte. Rien ne bouge vers eux, les regards ne s'attardent pas... ils passent inaperçus, semble-t-il.
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Les secondes s'écoulent... et, lentement, une minute s'échappe.
C'est long, lorsqu'il s'agit d'attendre dans la tension d'une réponse.
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Rien ne se passe.
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"Bon. Ouvrons cette porte." 'précipitera' le nain, persuadé par le discours de leur commanditaire que la maisonnée est vide depuis l'aube.
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Les gonds grinceront légèrement, tant la porte est sèche et le bois rêche, allégé de son eau et de sa vie.
Devant le trio se dévoile une petite pièce, modeste, une surface faisant office de lieu de vie et de couche.
Une table, trois chaises, un tabouret, un placard, une paillasse sur montants, un paravent à trois volets cachant un demi tonneau destiné au bain et un tapi de peau au sol.
Dans le fond, une petite tablette se rehausse d'un pichet d'eau et d'une vasque. Quelques linges dépliés à la hâte et laissés en chiffon, un petit bureau avec plusieurs papiers remués et un petit âtre glacé.
"Il semble que notre bon payeur ait déjà fouillé la paperasse..." glissera le mercenaire dans un léger soupire. Son œil se portera naturellement vers l'une des deux fenêtres qui percent le mur, observant le port de cette place.
Le parquet grincera sous leurs pas.
"Pas de piège en vue..."

Compétence:

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Invité

Cronos était rentré dernier, jetant un œils dans la rue s'assurant que personne ne les avaient vue entrer dans la battisse et ferma la porte doucement .
La pièces ressemblait à son logement actuel en bien plus condenser
"Pour vivre ici, il faut ne pas y vivre . Cela ressemble a une couche de marin. Leur vrais logement est une cale de bateau"

Traversant la pièces, écoutant la remarque du brun sur la paperasses il ne s'y arrêta pas. Il laissera le soins à quelqu'un de plus curieux d'y fourré le nez .
Son regard se posa plus attentivement sur la pille de linge.
"Notre commanditaire aime croire que les solution ce trouve dans des écrits et non pas dans des bouts de chiffons. Je vais cherche dans ce tas. Une tache de graisse me parlera peut-être plus" soupira t'il .
Les yeux plonger dans les tissus, Cronos prenait son rôle a cœur , les retournants, cherchant un motif brodé, une marque ou une couleur qui pouvait rattacher Baldon à un bâtiment du port ou à une compagnie de docker.

Invité

Cette maison, si l'on pouvait la nommer ainsi, puait le renfermé.
L'état des lieux était lamentable. Fouiller dans un tas d'ordure n'aura jamais ravi nul autre créature qu'une vermine, un rat. Kikri aimait son travail mais elle l'aimait aussi propre et qu'on lui emboîte le pas était problématique. Encore une fois, elle aurait bon nombre de commentaires à faire à son commanditaire.
Cronos avait raison de supposer que le vieux chnoque avait envoyé quelqu'un fouiller ces combles et il n'avait probablement rien trouvé d'intéressant.
Hors de question de rester en haleine de la sorte. Le petit gringalet allait fouiller le linge, peut être y avait il autre chose à trouver.
Depuis le début de cette aventure bon nombre d'informations ont été dissimulées. Certes certaines questions ont été oubliées par les aventuriers mais le papi nain cachait tout ausi bien son jeu, il avait été plus que discret sur le hameau de fumée qui entourait cette affaire et refusait d'entrer dans les détails.
La paperasse avait de toute évidence été fouillée mais il faudra y jeter un nouveau regard. En tant que mercenaire une information insignifiante pourrait lui paraître importante pour la chasse.
Cela dit Kikri prit la décision de commencer par l'âtre froid.

-Je vérifie les cendres. J'y trouverais peut être des restes, une information quelconque sur un morceau de parchemin à moitié brûlé, qui sait !

Elle se dirigea donc vers le tas de cendre et pris la fourche pour toiser le feu afin de fouiner dedans.

Ainsi dans un dernier élan, avant l'accomplissement de sa tâche, elle se tourna vers le troisième larron de la bande.

-Si Monsieur Balangar daigne bien vouloir regarder le tas de papier, nous lui en serions fort gré !

Compétance:

Maître du Jeu

La maison est modeste, oui. Elle a des relent de poussière, refoule une légère odeur de vase chahutée par les mouvements des navires et les remontées de caisses à écrevisse.
Dans ces lieux, l'extérieur pénètre par sons étouffés. La clarté s'étend, maussade et grise, pointant à chacun quelques maigres objectifs.

Fouiller le tas de linge ?
En retournant les tissus, Cronos n'y trouve pas grand chose. Ces chiffons sont secs, de facture sobre... Il ne perçoit rien de particulier.

Kikri se tourne vers l'âtre. En empoignant le tisonnier elle remue la poussière grise et dégage quelques légères bouffées de chaleur épuisée... Des morceaux de parchemins se révèlent ; petites pièces de puzzle incomplet révélant quelques mots manuscrits [envoyé par MP].

Balengar reste là, bras croisés à la regarder faire, jusqu'à ce qu'elle lui propose d'observer le 'bureau'. Le Nain inspire profondément avant de se tourner vers la table et de regarder un peu grossièrement. Il n'y a là que des notes d'additions et de soustractions sans références, des buvards tachés de mots superposés et extraits de leurs contextes. Rien ne lui vient à l'esprit et il le dit :
"Tout ça n'a aucune valeur d'indice..."
En se retournant, son œil penche au sol d'un air froissé et pris dans ses pensées. Il suit les lignes difformes du planché qui grince sous ses pieds et ira finalement s'asseoir sur un tabouret.

"Qu'en est-il de l'âtre..."

Totalement navrée pour ce temps de réponse.
Kikri, tu as la prio de post'

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Invité

Ridicule petit nain de pacotille ! La nonchalance incarnée. Si Balengar ne souhaitait guère s'occuper de cette mission, il aurait dû retourner dans son trou à rats. Qui plus est, personne n'était bien certain qu'il n'en savait pas d'avantage que ce qu'il prétendait.
Kikri ruminait dans sa barbe et tout en pestant contre son associé, elle aperçut dans les cendres quelques morceaux de parchemins encore lisibles. Elle les saisit tous un à un avec délicatesse.
Elle tenta de les déchiffrer mais même si certaines phrases étaient lisibles, cela n'avait pour l'instant aucun sens.
Une question se posait alors à elle, bien que l'éthique ne fasse pas parti de ses aspirations, et bien qu'elle se débarrasserait volontiers de ses deux compagnons, devait-elle révéler sa découverte ?
Il est vrai que si elle aspirait à leur fausser compagnie à un moment ou un autre, il y aurait un temps donné pour cela. Et leurs propres connaissances pourraient s'avérer être utiles en ce cas présent.
Elle inspira profondément et se tourna vers les deux autres nains puis elle se dirigea vers le bureau et déplaça l'amas de papiers. Elle déposa son puzzle de parchemin dessus et essaya de les remettre dans l'ordre.

-Bon, je crois avoir quelque chose de fort intéressant, venez voir !
Il semblerait que nous ayons enfin un semblant d'indice !

Elle leur céda la place et pris en main la pile de parchemins qui était sur le bureau. Essayant désespérément de faire un lien avec les quelques mots sortis des cendres.

Compétence:

Invité

Cronos leva enfin les yeux, les sourcils toujours plus froncés, la bouche de travers il déclara a lui même et suffisamment fort pour que ces compagnons l'entendes "Tas de chiffon chiffonner qui chiffonne la mercière" Sans grande surprise, sa recherche n'avait rien donner.
Revenant dans le centre de la pièces il jeta un œil à Balangard qui semblait être tout aussi passif dans la réflexion que dans l'action.
La pile de tissus n'avait pas inspirer Cronos mais il y avait passer le temps nécessaire dessus. Le tas de papier quand à lui, avait eu droit qu'à un regard éclaire et une conclusion détacher.

Quand Kikri se tourna pour montrée les fragments trouver dans l'âtres Cronos s'était mis en tête de fouiné lui même la paperasse. En voyant ce parchemin a troues étaler sur la table il en oublia sa première intention et se concentra pour déchiffrer les phrases, laissant place à la blonde.
Les mots absents, les lettres moitiés coupé, la lecture était difficile.
C'est alors qu'en y mettant de l'hésitation et les formes Cronos compris que c'était une lettre de mise en garde, donnant rendez-vous "SUR LE CHAMP A LA CAPITALE" Cronos se redressa les yeux bien plus ouvert maintenant . S'adressant a Balangar "Il nous faut encore savoir qui est le seigneur Rarrk et qu'es que la Griffe Noir, mais nous savons désormais dans quelle direction est parti notre ami."

Il regarda Kikri en lui demandant " Ma jolie, cherche quelques choses sur la Griffe Noir, ça pourrait être une guilde et voit si il y a une lettre où ressortirait le nom du seigneur Rarrk, regarde les cachets. Prend ce qu'il te parais intéressant, nous avons perdu trop de temps ici. Ils nous faut nous rendre à la capitale."

Maître du Jeu

La trouvaille de Kikri s'arrête à sa façon d’étaler le message. Rien ne semble la transcender dans ce qu'elle pourrait en déduire et seul Cronos commencera à en chercher le sens.
-
Se penchant sur le puzzle reconstitué, Balengar observe chaque pièces sans y toucher. Il sursautera, trébuchant dans sa concentration lorsque Cronos se met à prononcer quelques mots d'une voix forte.

"Ha oui, vraiment ?

Tu sais dans quelle direction il est parti mais tu ne sais pas de quelle capitale il s'agit ? Ni ce qu'est la Griffe noire ?"
Balengar penche la tête sur le côté et applaudit brièvement.
"Il y a une bonne dizaine de Capitales dans le monde. Bon courage.
La Griffe noire... Tu viens de le lire. Mais j'peux entendre que tu ne connaisse pas bien la composition du monde.
C'est la Capitale."
Son index pointe vers le bas du message le nom de 'Ysash'.
"Et ça, c'est la Mère des Hybrides. On parle donc bien de la Capitale des Griffes Noires, en définitive."
-
En viennent les mots suivants du blond qui surprennent fortement le nain présent.
'Ma jolie' ? - Suivie d'une demande à l'impératif ?

Glissant l’œil vers la mercenaire, Balengar s'attend à une remise en place pour faute de genre... voire de familiarité excessive.
D'où ça sort ?
Il se défendra lui-même du point qui évoque sa recherche sur le bureau :
"Il n'y a aucun papier de ce genre sur la table... Si j'avais vu une lettre je l'aurai lu." grommelle-t-il en croisant les bras, ajoutant :
"Mais si ça vous fait envie de lire des textes fondus en morceaux sur des buvards et quelques tableaux de chiffres griffonnés, perdons quelques heures de plus. Le jour est encore là... Vous qui ne comptiez que partir demain, je vous laisserai bien pioncer dans cette bicoque pendant que je pars de mon côté.
Vous ferez plus ample connaissance."

Son ton est sec et bas, peu porté sur l'émotion et encore moins dans la gaité. Balengar fait donc demi-tour sans plus un mot, se dirigeant vers la sortie.
Si Kikri jette un œil en direction du mercenaire qui s'éloigne, elle sera interpellée par ce tapis au sol, dont un angle est retourné sur un coin en dehors du passage principal.

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Invité

Kikri regardait à nouveau le tas de parchemins. Et après quelques pages, elle constatait en effet qu'il n'y avait rien d'intéressant. Ses poils s'irrisserent quand elle entendit les quelques mots du blondinet.
'ma jolie ?'
Son teint rosit. Elle ne réfléchissait plus, juste perdue entre deux pulsions aussi fortes l'une que l'autre; lui balancer son poing en pleine figure ou sourire bêtement et lui faire les yeux doux. La pression devenait trop forte, elle devait réagir ! Mais toujours perdue entre deux, elle lâcha finalement un son, un grognement comme celui d'un cochon ! Elle souffla un coup, se relacha et rougit un peu plus.
Sérieusement, il méritait de s'en prendre une, elle avait horreur de se sentir de la sorte. Elle préférait carrément les attraper par le col et les plaquer contre un mur sans trop se poser de question et se tirer au petit matin venu pour boire une bonne pinte et fumer la pipe.
Elle était bien loin de tout ça et prit parti pour l'instant de l'ignorer. Ils devaient avancer dans leur quête.

Elle se tourna ainsi vers Balengar pendant qu'il s'éloignait, l'air septique, la tête renfrognée. Ce petit bonhomme l'agacait.

'je vous trouve fort déplaisant Balengar ! Vous ne vouliez pas venir jusqu'ici et pourtant nous avons tout de même trouver quelque chose de fort intéressant ! Si vous n' aviez pas l'air autant dedeigneux et nonchalant, je n'aurais pas été tentée de remettre le nez dans les papiers et me serais contentée de votre avis. '
Elle se tourna ensuite vers Cronos.
'Quant à toi, mon grand, tes prié de calmer tes ardeurs.. Pour l' instant! '

Elle regardait Balengar partir et aperçut le tapis au sol dont un angle était retourné. Mais voilà la chose intéressante, ce coin ne se trouvait pas sur le passage et il n'y avait rien autour qui pouvait pousser quelqu' un à piétiner cet angle. Elle se redressa complètement et s'y dirigea pour le vérifier.

Invité

Cronos était resté muet durant les remarques lumineuses de Balangar . Il compris qu'il jubilé bien trop tôt. Certes il avait déchiffrer un bout de papier qui était vouer a ne point en dire plus, en revanche il ne connaissais pas le monde qu'il entourait, ce même monde qui l'appelait de plus en plus.
" Hybrides..." murmurait' il à lui même en ignorant le reste des mots de Balangar qui fini par le laisser seul a ces rêves.

C'est la voix de Kikri qui le ramena à la réalité.
*quesqu'il lui arrive ?*. Si Balangar semble nonchalant il avait de judicieuse remarques et déductions. Cronos pensait que Balangar était une brute, qui s'exprimait de manière brute sans tacts et qui était dépourvu d'empathie. Chaque mots étaient utiles les autres en trop. C'est bien pour cela que Cronos n'avait pas réagie quand ce dernier lui avait fait remarquer qu'il n'avait pas le bon résonnement sur la direction à prendre.
Puis, gratuitement Kikri fit une remarque a Cronos. La Blonde avait capter un geste d'affection, qui lui était anodin, pour lui proliférer des menasses. *Nerveuse la jolie*

En deux enjamber Cronos rattrapa Balangar .
"L'écoute pas, moi je te trouve pas fort déplaisant." Exagérant ces derniers mots. "Tu vient de m'en apprendre sur le monde, et je parie qu'elle aussi est une ignorante. Tu me parle des hybrides? tu t'est déjà rendu dans leurs capitale ?
Sur le flanc droit de Balangar, Cronos tournait complètement le dos a Kikri

Maître du Jeu

Dédaigneux et non-chaland ?
Balengar fait en partie volt-face pour dévisager Kikri du coin de l’œil. Il garde un silence une seconde avant de répondre :
"Je ne savais pas que nous avions été engagés pour lier une amitié. Dédaigneux, si vous voulez... mais je ne suis pas non-chaland. Voyez, je suis déjà en partance tandis que vous trainassez en arrière..."
Tout en s'exprimant, il observe la jeune femme se diriger vers l'angle retourné du tapis, la jugeant étrangement quand il remarque à son tour ce détail... détail qu'il juge sans importance, mais qui le retiendra un temps de passer le pallier.
Les questions de Cronos le détourneront un instant de cette vision, posant sur lui un regard neutre avant de répondre :
"Non. Je n'y suis jamais allé. Tout au plus j'ai passé ce territoire pour venir jusqu'ici, par la missive qui m'y a invité."

Kikri dégagera le tapis, de la main ou du pied. Dévoilant le sol qu'il cache, elle y trouve une trappe munie d'une poignée en forme d'anneau de métal, enchâssée dans une rainure circulaire.
Balengar se laisse distraire par le mouvement.
"... probablement la cave à vin... vous avez soif ?" dira-t-il d'un ton plat et peu sérieux.
Si Kikri ouvre la trappe, elle trouvera une échelle descendant sur quelques barreaux. La lumière dans la maisonnette permet d'en voir le fond. Un sol caillouteux et terreux. Descendra-t-elle ?

...~oOo~...

Invité

Kikri ouvrit la trappe et aperçut le fond caillouteux et terreux. Ce serait franchement dommage de ne pas descendre y jeter un œil, après tout ils avaient déjà trouvé un excellent indice. Pourquoi prendre le risque de passer à côté. C'est ainsi qu'elle rebondit sur la remarque de Belangar.

"Ce serait avec grand plaisir très cher que je me descendrais une bouteille mais si je souhaite la savourer, je préfère aller au bout des choses. Vous devez tout de même admettre que cet arrêt n'était pas sans intérêt en fin de compte. Alors plutôt que de préserver un quelconque doute, j'aimerais jeter un œil à cette cave."

Elle fouilla ses poches énergiquement, se redressa d'un geste brusque et se tourna vers ses compagnons.

"L'un d'entre vous aurait-il de quoi m'éclairer ou voudra-t-il peut être descendre si tel était le cas ?"

Elle se retourna sur la pièce cherchant dans la maisonnée une torche ou quelque chose s'en approchant. Le nain habitant cette demeure devait bien posséder le nécessaire.

"Si rien ne s'y trouve, je vous promets de vous suivre sans appel. Mais il faut descendre et en avoir le coeur net"

N'attendant plus de réaction, elle pris le pas et descendit l'échelle, le cœur palpitant, espérant au moins dénicher la fameuse bouteille. L'élixir suffirait à la faire baver.
Le premier barreau, sa bouche s'entrouvrait.
Le second barreau, elle sentait l'odeur du vin et ses poils s'irrissaient.
Arrivée en bas, elle ne songeait plus qu'à cela, tomber sur une petite merveille.

Invité

"Vous avez soif"
Ces mots ne laissait pas Cronos sans émotion, la remarque de Balengar lui dessina un sourire sous le nez, autant par l'ironie du thon qu'il avait utiliser que par l'idée de vidé une corne.
Cronos observa Kikri s'activer à trouver une source de lumière et par mimétisme ce palpa les poches pour confirmer qu'aucune torches ne s'y trouvait. Il n'eu pas le temps de réaliser son absurde action que Kikri avait déjà emprunter l'échelle.
"Tu y trouve un truc intéressant ? " lui demanda t'il pencher au dessus du troue.

Il regarda Balangar. "S'il elle trouve rien, on part dans les minutes et tu nous montrera le bon chemin. Elle a bien raison, on peut pas passer a coté de cela ." Cronos pris une seconde sa respiration puis continua ."Ma cave a vin n'est pas cacher sous un tapis" Bluffa t'il car il n'avait pas de cave a vin dans la crèche qu'il occupait .
Pencher à nouveau sur le troue, s'adressant à Kikri "Y a t'il de la place pour deux dans ce terrier ?"

Attendant les réponses de Kikri, Cronos restera en haut de l'échelle près à descendre le regard froid dans celui de Balangar

Compétances:

Maître du Jeu

Balengar croise ses bras et ne répond pas. Il pose sur la donzelle un œil plat et l''autorise' à 'aller' d'un mouvement déployé d'une main.
Fouillons donc cette cave...

En jetant un œil à la bicoque, Kikri ne trouve rien. Il faudrait qu'elle soit un peu plus attentive pour espérer faire une découverte. Il en sera de même dans cette cave.
Ses deux compagnons restent sur le pallier supérieur tandis qu'elle s'engage dans la descente d'une échelle. Cronos se palpe à la recherche de ce qu'il n'a plus en tête... A-t-il une lanterne ? Une torche ? Non.
-
Plus que l'odeur du vin, la donzelle associe un parfum de poussière et de cave à ce qu'elle pourrait contenir. Cette petite hallucination olfactive n'est qu'un bon rappel, un souvenir... une Madeleine de Proust peut-être... Ce n'est pas le tanin qu'elle sent, c'est un relent de chambre souterraine dont elle se fait l'idée concrète.
Qui cacherait sa 'cave' sous un tapis ? Il y a moult réponses à cette question... Et plus que le 'qui' c'est le 'pourquoi' qui importe. Du disgracieux de cette trappe sur le planché ? D'un barrage à l'humidité ? Au froid ? D'un vice à cacher ? Peu importe.
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Kikri descend, seulement éclairée par le haut de son crâne dans ce cône lumineux qui l'amène jusqu'au sol sec et terreux. L'air est beaucoup plus froid qu'à l'étage dont l'âtre souffle ses dernières braises. En tournant sur elle même, son regard s'habitue légèrement au petit espace qui se déploie.
Elle ne trouve rien de particulier, puisqu'elle ne s'attèle pas vraiment à chercher ce qu'elle a en tête. En revanche, dans la semi obscurité qui dessine les contours d'une pièce de dix mètres carrés, elle remarque le cadre lumineux d'une porte. Si elle s'en approche, qu'elle l'ouvre, elle fera pénétrer dans la salle un air vivifiant et une clarté blanche venant de l'extérieur.
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Devant elle se dessinera alors les contours d'un porche ou d'un tunnel de quelques mètres. La pierre s'arque au dessus de sa tête et s'allonge jusqu'au fleuve qui traverse la cité. Au devant de ce pallier, une marche et une place de deux mètres sur trois donne l'accès à deux quilles d’amarrage ; deux plots de bois dont l'un retient une barque au bout d'une corde.

"Alors ?!"
Tonne la voix de Balengar depuis l'intérieur et l'étage. Se penchant lui aussi au dessus du trou, il attend de savoir ce que la donzelle à trouvé.
Depuis le pallier, Cronos et lui on vu une lumière blanche éclairer la cave ; dès lors que la donzelle s'est approchée de la porte pour l'ouvrir. Si non, les lieux resteront enténébrés.

...~oOo~...

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Missive et mission

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