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Lodgryr Moroak

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Lodgryr Moroak  Empty110
MessageSujet: Lodgryr Moroak    Lodgryr Moroak  1x1emp10Lun 2 Déc 2019 - 14:40



Moroak Lodgryr



Age : 34 ans

Surnom : Lod' ou le Porchet de l'épine

Droitier / Gaucher : Ambidextre

Race : Nain

--------------------

Alignement : Chaotique Bon

Inventaire du personnage :
Sac du combattant : Veste de cuir, Hache, Petit sac, Gibecière.

Or : Avec plaisir.

Apparence physique : 1m42 - 88 kg

Aux yeux des siens, il culmine, pour ce qui est de la considération des grands échalas, il s’accommode bien de la vision de leurs nuques fléchies et si ce n’est pas là, le témoignage de leur respect, qu’une bosse leur pousse dans le dos. Son corps semble avoir été taillé dans le tronc d’un arbre séculaire pour édifier une charpente massive, ramassée et grossière. Le courtaud est aussi large que haut, un roc brut, a peine travaillé et ciselé. S’il semble porter plus qu’il n’est nécessaire en matière de charge pondérale, il y a bien plus de carne nerveuse et d’os que de gras sur ce butor … A peine de quoi se faire un ragoût. Son visage il l’a laissé en jachère et arbore une luxuriante barbasse, flave, sauvage, suffisamment longue pour occulter ses lèvres ténues. Ces champs dorés sont séparés par une bande de peau pâle, constellée de tâches de rousseur et souvent peinturlurée. Son nez court, mutin et annelé, pareil à un groin porcin lui a certainement valu son surnom de Porchet … Ou peut-être le doit-il à son caractère. Ses yeux d’un bleu lagon, intense, semblent apporter avec eux, l’éternel froideur régnant sur les amonts de Gurinroc. Ses oreilles largement dégagées, s’étirent sur les bords dénudés de son crâne, coiffé d’un seul toupet de cheveux longs et filasses, rabattus sur son dos par une longue tresse. Sa voix enfin, puissante et rocailleuse, est plus expressive encore, que les plis de sa trogne et son rire dit-on, ne peut-être contenu, pas même par les complexes dédaléens circulant dans les chaînes d’Olivion.

Caractère/Mental :

De corps comme d’esprit, Lodgryr ne brille pas nécessairement par sa finesse, au mieux par une certaine forme de sagesse. La vie de nomade, soumise à l’impitoyable empire de la nature, pousse généralement un homme à plus de pragmatisme que de réflexion ; Il est de ceux qui agissent, écoutant bien plus souvent leurs tripes que leur éminence grise. Un cheminement indispensable pour survivre aux épreuves de terres encore sauvages et indomptées. Le rase la fange persiste à croire que seuls les lâches se perdent en détours inutiles pour fuir l’adversité car têtu, il l’est et s’il lui arrive d’avoir tort … Il aura raison de toute façon. Il est si entier qu’on doit se contenter avec lui, de tout ou d’un rien. Soit il reste taciturne, ne brisant laconiquement le silence, que par extrême nécessité ou déborde au contraire, d’une jovialité crasse. Quand il ne râle pas, bien entendu, car grogner, il adore ça. Il n’est pas vraiment de ces compagnons que l’on peut inviter à tous types d’événements, moins encore aux tables des négociations … Sauf peut-être, en présence de brutes avinées, suffisamment portées sur les plaisirs simples. Quand il est question de beuveries, de la besogne et de batailles, il a toujours quelque chose à dire.
Cette vieille pierre à bien un cœur semi-précieux, mais de ceux que les passions menacent de liquéfier, de répandre en nuées destructrices, derrière son apparente bonhommie, le rustre est un caractériel et il est bien peu de choses qui ne font pas jaillir son courroux. S’il respecte la loi du plus fort, il ne méprise pas pour autant la faiblesse, seulement ceux qui l’exploitent par facilité. S’il a conscience de ses limites et parfois de la bassesse de son front, il ne tolère pas d’être traité comme un animal et donnera volontiers le dernier mot à ses détracteurs. Un poing c’est tout ce qu’il faut pour conclure une phrase après tout … Enfin, s’il n’interprète pas les usages de la langue de travers.

Attitude paradoxale : Violence et tranquilité
Faiblesse : Buté, grande gueule
Handicap : Peur du vide

Dons et/ou Talents :

- Racial : +1 contre les peaux vertes
- Rage de Berseker
- Ambidextre

Compétences et caractéristiques :

-Race : Connaissance (souterrain), Camouflage (souterrain), Détection , Coups puissants, Résistance à l’alcool.
-Agilité (6): Adresse au tir, Camouflage rural, Déplacement silencieux (Rural), Equilibre, Esquive, Saut.
-Combat (4): Combat à l’aveugle, Force accrue, Réflexes de combat, Résistance physique.
-Sens (3): Perception, Pistage, Fouille
-Survie : (2) : Survie, Dépeçage


Histoire :

Comment je suis arrivé là ? Si loin des montagnes ? Je peux t'assurer en tous cas, que ce n'est pas pour votre mousse pisseuse. Chez nous aut' la bière est bien brune, elle donne du cœur au ventre, on peut la boire et la manger. Je suis un fils de la Harde de Galcorn, une noble tribu qui connait les secrets des sommets, tout autant que leur froideur et leur cruauté ... Enfin, c'est ce que je pensais. Notre communauté avait une tâche simple, patrouiller sur les flancs escarpés d'Olivion afin d'assurer la sécurité de ceux qui vivent sous la terre et la pierre. Des exploitations à nos cités, les goulets sont nombreux ... Les complexes sont changeants tu sais. Le temps, la neige, la pluie, les vermines, tous essayent de se frayer un passage vers le cœur de not' royaume ... Eux exhument les trésors dans la sueur, nous on s'assure que les enfants de la pierre restent intègre dans le sang, tout comme le rempart naturel qui s'dresse au dessus d'eux.

On a fendu plus de bêtes sauvages et de petit bois, que de peaux vertes avec nos haches, parce qu'il faut pas manquer de souffle pour essayer de grimper là haut. Faut croire que les nuisibles restent à hauteur de leurs ambitions, à grouiller et ramper en aval. Toujours est-il que c'est la montagne qui m'a amené ici. Moi j'ouvrais la marche, couvrant la progression des monteurs de Bélier, je m'assurais qu'aucun obstacle naturel ou non, ne vienne perturber nos pérégrinations. J'ai toujours eu le nez, aussi bien pour flairer les porpisseux qui s'cachent pour mieux te suriner dans l'dos, que pour voir venir les premières colères de la montagne. Tu vois où je veux en venir ?

Ce jour là, elle n'a pas prévenu et elle nous a fauché. Enfin ... Nous. J'avais prévenu Moburgan qu'un truc n'allait pas, j'ai cependant fait l'erreur d'invoquer le silence pour illustrer la menace. Pour une fois, ils ne m'ont pas pris aux sérieux, une fois de trop. Ouaip, l'attaque est venue du sol et du ciel en même temps ... C'est la blanche cavalerie du pic qui nous est tombé dessus, une avalanche aussi puissante qu'impitoyable. Les monts ont une âme, mais pas la glace ... Elle ne se préoccupe pas de savoir qui elle englouti, elle dévore c'est tout. Comme le feu. J'sais pas si elle m'a épargné ou si elle m'a trouvé indigeste, je sais simplement qu'elle m'a précipité dans un abîme, puis dans l'abysse. J'ai flotté comme un tronc mort, tu sais les eaux douces et la poudreuse sont de vieilles alliées et je me suis réveillé sur une paillasse, dans la cahute d'un vieillard ... Si tu veux mon avis, son crâne devait être mangé par les mites, comme les planches du bauge où il logeait parce qu'il hurlait que la providence m'avait amené à lui. Je sais pas qui c'est celle là, mais je lui offrirait peut-être une pinte si je la croise. L'aut' a ensuite essayé de me coller son idole en pierre dans le bec, de la mauvaise came en plus et de là je me suis dit que j'avais assez profité de son hospitalité. Comme il a commencé à se montrer agressif, je lui ai fait embrasser sa statuette si tu vois c'que je veux dire ... Fut-il heureux de pas se la prendre ailleurs.

Enfin voilà, je pense avoir compris que j'ai été en quelque sorte ... "Envoyé" ici. Tant que j'saurais pas pourquoi, bien je resterais dans les parages. Maintenant je vais te dire ... T'es comme la montagne, il y a quelque chose qui me plait pas chez toi. Je vais donc considérer qu'il n'y a que deux issues possibles à ce moment de partage et de franche camaraderie : Soit tu me dis pourquoi tu m'observe et me questionne depuis toute à l'heure, soit je te fais goûter une spécialité de chez moi. Crois moi, ça plombe l'estomac et c'est dur sous la dent ...



Remarque?
De l'or, des femmes de la bière nom de ...

Ou avez vous connu le forum?
Dans les mines, je crois avoir trouvé un bon filon.
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