Une odeur de poisson

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Suite de C'est un Lion des neiges ?

Un petit mensonge qui laissera l'autre indifférent : ainsi Anselme ne voulait pas sentir trop fort le poisson crevé ? Même s'il limiterait les effluves en dormant au sol, il convient tout de même de rappeler que la cabane pue : elle pue le poisson, l'algue, la fumée et la vase. Le Lion Rouge devra peut-être penser à prendre un bon bain dès le lendemain...

Anselme s'installe et se laisse aller à des rêves, plutôt des cauchemars, où les cadavres de ses compagnons d'armes se dressent face à lui...

...~oOo~...

Ambries d'Obsidienne

Le mercenaire a toutefois manqué de lucidité. Fatigué par une journée harassante, il a sombré aussitôt dans les ténèbres du sommeil. Le feu lui a permis de ne pas ressentir le froid, mais, au milieu de la nuit, alors qu'il est allongé à même le sol, c'est ce qui le réveille. Le feu est éteint, c'est le froid qui s'est insinué dans sa couverture qui l'a tiré de ses songes. En pleine nuit, aucun moyen de connaître l'heure. C'est peut-être le froid qui lui sauve la vie...

Car Anselme, s'il tend l'oreille, au-delà des ronflements d'Arthur, percevra quelque chose... Des pas qui se rapprochent, des exclamations de voix. Ils sont plusieurs, c'est certain, plus de deux en tout cas. La bonne nouvelle, c'est qu'ils ne cherchent pas à se cacher. Ils sont peut-être égarés. Ils ne cherchent peut-être personne en particulier.

Mais, ces pensées formulée, Anselme se rendra compte que le groupe continue toujours d'approcher ! Sortira-t-il de sa torpeur ? Et pour faire quoi ? Il fait très sombre dans la cabane, des rais de lumière lunaire transpercent les planches déjointées et permettent tout de même de se diriger. Les filets et le matériel de pêcheur forment un capharnaüm sombre et menaçant, difficile à appréhender. Tout déplacement dans le noir devra se faire avec une extrême prudence ! A moins de décider d'allumer une lampe ou de raviver le feu ?

Que faire, la cabane n'a qu'une entrée, et donc qu'une sortie !

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'1D4' :

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Anselme ne savait pas lorsqu’il finit par se réveiller à cause du froid, s’il en était mécontent ou non au vu de ce qu’il éprouva dans ses rêves… Néanmoins, il n’eut pas vraiment le temps d’y penser en profondeur, car il remarqua rapidement que des gens traînaient dans les alentours et soupçonneux de ce fait, surtout qu'il faisait nuit noire et la nature des environs... Notre lion rouge y fit donc assez attention pour constater rapidement que les bougres venaient vers lui ! Enfin, plutôt qu’ils approchaient de la cabane. Bon sang ! Bon c’était ça en même temps de venir vivre dans un coin perdu comme celui-ci à l’écart de la cité. Avec sa veine, ce n’était probablement pas des voyageurs égarés venant demander leur chemin… Cela et peut-être aussi des larbins des Helosor qui l’auraient suivis… Même s’il avait fait de son mieux pour être discret évidemment.

Anselme qui se leva alors en essayant de ne pas être trop bruyant, alluma sa lanterne qu’il avait posée non loin pour se repérer et prit son arc rapidement en main pour se diriger vers la porte qu’il ouvrit d’un geste sec pour se retrouver arc en main et flèche encochée bien en vu des importuns. Histoire de laisser le moins de temps possible aux autres pour réagir à la vision de la lumière qui s’allumait, du moins s’ils l’avaient perçus… La lumière d’une lanterne étant peut-être plus discrète que celle d’un foyer.

« Vous là ! Qu’est-ce que vous venez faire par ici ? Restez là et expliquez vous... » Dit-il assez fort espérait-il pour réveiller au passage l’autre occupant de la cabane qui sentirait sans doute que la situation était tendue.

Bien entendu, il était probable qu’il ne voit pas grand-chose dans le noir sinon, mais quoiqu’il en soit il ferait attention à tout ce qu’il percevrait possiblement concernant leur attitude... D'ailleurs, il espérait au moins que son intervention contribuerait à pousser les importuns à s’arrêter d'avancer pour discuter, sinon les choses risquaient de se compliquer, même s’il avait un arc en main pour attaquer le premier.

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Anselme se lève sans un bruit et allume rapidement sa lanterne en craquant une allumette. La lueur lui permet de distinguer parfaitement l'intérieur de la hutte -Arthur dort toujours-. Silencieux comme un chat, le Lion Rouge chaloupe en toute discrétion jusqu'à la porte. De l'extérieur, seul un œil avisé aura pu percer l'obscurité et venir remarquer les faibles lueurs qu'émet la lanterne à travers les jointures du bois. Toutefois, Anselme préfère prendre les devants et s'exposer directement au regard des intrus.

Combien sont-ils ? Quelles sont leurs intentions ? Faut-il réveiller Arthur et se préparer à fuir ? Autant de questions qu'Anselme a oublié de se poser ! Le réveil brusque et la soudaine montée d'adrénaline lui auront fait perdre ses moyens et les réflexes de son entrainement de mercenaire pendant quelques instants.

Bandant son arc, Anselme fait porter sa voix jusqu'au groupe qui vient de s'immobiliser à une vingtaine de mètres de là.

"Merde !" s'exclame une voix d'homme en face de lui. Les intrus portent eux aussi une lanterne, et les deux groupes se font face. Anselme peut distinguer quatre silhouettes dans la nuit, emmitouflés dans des fourrures qui scintillent à la lumière de la lune. Elles ont commencé à givrer.

"Hein ? Quoi ? Qu'est-ce qu'il se passe ?!" C'est Arthur qui vient de se réveiller et lutte pour reprendre conscience alors que l'air glacial de l'extérieur lui chatouille les orteils.

L'une des silhouettes porte la lanterne, celle à sa droite menace Anselme d'un arc. Deux autres personnes se trouvent derrière eux. Elles restent dans l'obscurité, la lumière de la lanterne n'atteint pas leurs visages.

Spoiler:

"Hola, l'ami ! Nous ne cherchons qu'à nous abriter pour la nuit ! Nous avons été chassé de notre bivouac par des... choses... Nous ne voulons pas nous battre !" C'est l'archer qui parle, fort pour se faire entendre malgré le ressac de la mer.

"Mais si vous nous attaquez, vous ne vous en sortirez pas indemnes c'est clair ? Laissez-nous entrer !" C'est le porteur de lanterne, dont la main, serrée sous ses fourrures, cache probablement une arme...

Lanterne d'Anselme : plus que 21 rounds

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Ils étaient quatres, c’était beaucoup, Anselme ne savait pas du tout s’il pourrait gérer cela, surtout qu’il savait encore moins si Arthur était un guerrier compétent. Oui, il fallait aborder ceci avec finesse pensa t-il, si possible en évitant la violence brute, ce qui en plus d’être inutile risquait d’être très contre-productif… Mais du coup, que faire ? Il doutait après tout qu’ils partent s’il le demandait gentiment, ça et… Il ne savait pas si c’était l’idée du siècle de les laisser s’abriter ici. Car même si Anselme ne partait pas du principe que c’était forcément des bandits, peut-être qu’ils en étaient...

Il eut alors une idée très osée, le genre d’idée qui pourrait tout à fait marcher. Anselme espérait qu’Arthur comprendrait son petit jeu, qu’il n’avait pas le temps de lui expliquer et finit par dire en mimant le soulagement léger, mais un en jetant tout de même un discret regard aux alentours. Comme s’il redoutait au fond de lui que quelque chose surgisse des bois...

« Bon sang ! Vous m’avez fait peur, j'avais crû que c’était des dévoreurs… Vous aussi vous avez été chassés de votre campement par eux ? Disons qu’on a eut la même idée que vous, même si on ne comptaient pas forcément trop s’attarder vu qu’ils sont à notre recherche… Ils détestent perdre leurs proies de vue vous savez. Ils doivent d’ailleurs être encore en train d’errer dans la forêt à notre recherche... » Il prit alors un ton se voulant inquiet et dit.

« Enfin, bon, vous abriter ? Pourquoi pas... Après le souci si on fait ça c'est que vous avez peut-être laissés une piste qu'ils pourraient suivre jusqu'ici. » C’était osé en effet, mais ça avait une chance de marcher par rapport aux rumeurs récentes sur le retour des dévoreurs et le fait qu’ils pouvaient rôder dans les environs… Cela et évidemment il déployait son meilleur jeu d’acteur pour convaincre…

Test de bluff avec charisme :
-1D10 +1

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'1D10' :

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Anselme comprend rapidement que seul face à quatre personnes, ses chances de victoires sont maigres, sinon nulles. Il cherche finalement à les abuser, en attribuant son comportement agressif à la peur des dévoreurs. Cela marche-t-il ? Il distingue mal les traits des ses vis-à-vis, cependant, il pourra noter une légère détente de l'archer : l'arc n'est plus qu'à moitié bandé.

"C'était peut-être des Dévoreurs, ou peut-être des Morts, je ne sais pas. Ils ont massacré un de nos compagnons, je doute qu'ils nous suivent encore... On aimerait rentrer, ... s'il vous plait."

Le Lion Rouge peut noter l'effort de l'homme qui visiblement ne fait pas preuve de politesse tous les jours. Une demande implicite a aussi été faite : l'archer a détendu son arc pour montrer sa bonne volonté. Sans doute sait-il aussi qu'il est en position de force et que ce comportement n'est pas trop risqué. Si Anselme détend lui aussi son arc, l'autre le détendra complètement et décochera sa flèche. Si là aussi Anselme fait de même, le groupe approchera, avec un soupir de soulagement collectif discret.

"Qui êtes-vous ?" Arthur s'interroge tout haut tandis qu'il s'écarte et s'efforce de faire un peu de place dans l'unique pièce. Il passe ensuite un peu de temps à relancer le feu à partir des quelques braises cachées sous la cendre.

"On est des voyageurs, on s'est fait attaquer pendant la nuit et on s'est retrouvé à chercher un abri..." maugrée le deuxième homme. La quarantaine, il a une sale gueule, comme on dit, et semble blessé. Il porte à son flanc des bandages rougis, et une plaie couverte de sang coagulé à la tempe. Il profite de la lumière naissante pour éteindre sa propre lanterne.

Les deux autres silhouettes sont restées muettes, et découvrent leur visage à la lueur des premières flammes de l'âtre. Ce sont deux femmes, qui présentent un visage fatigué. Elles ne pipent mot et s’assoient dans un coin, au plus près du feu possible, et se réchauffent.

Spoiler:

Les deux femmes semblent bien jeunes. Si la brune semble effrayée et un peu perdue, celle aux cheveux châtains garde un regard dur.

Lanterne d'Anselme : plus que 20 rounds

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Anselme ne pouvait pas percevoir grand-chose, mais il devina au moins que l’archer semblait un peu se détendre. Est-ce que c’était un signe qu’ils ne voulaient vraiment pas le combat ? Difficile à dire… Quoiqu’il en soit, ils semblaient plutôt déterminés à entrer et y mettre poliment les formes. Ils devaient vraiment en avoir besoin...

Le mercenaire après une rapide réflexion décida donc de débander son arc et de ranger sa flèche. De toute façon il supposait que même dans le cas où ça aurait été des vauriens, il est probable qu’ils ne voient rien d’intéressant à piller dans cette cabane... Cela et, il voulait croire qu’ils seraient assez reconnaissants pour se passer de toute possible agressivité malheureuse.

Anselme éteignit donc sa lanterne et les laissa entrer calmement, en se disant que maintenant il fallait garder au moins le bobard intact, sinon ça risquait de sonner mal. Quoiqu’il en soit il y avait donc deux hommes et deux femmes dans leurs groupes et en effet ils avaient l’air fatigués. Soit, il supposait de toute façon qu’à ce prix là ils pouvaient bien passer la nuit ici, de toute façon ce n’était pas lui le propriétaire de cette bicoque...

« Si l’un d’entre-vous en a besoin, j’ai quelques connaissances en soins de base. » Proposa t-il quoiqu’il en soit pas mécontent que le feu de l’âtre soit rallumé et un peu plus détendu qu’il y a quelques instants, même si toujours prudent. Il en profita même pour s’asseoir sur quelque chose pouvant servir à cela s’il pouvait…

« M’enfin, sinon, d’où venez vous quand j’y pense ? Simple curiosité de ma part, comme vous dîtes que vous êtes des voyageurs. Moi-même j’aimerai pas mal voyager disons, même si actuellement je suppose que je vais rester dans les environs le temps que la paix revienne… Et sinon, désolé pour votre ami. » Histoire de détendre un peu la situation et peut-être glaner quelques informations. Parler était après tout une bonne façon d’ouvrir légèrement le cœur des hommes, cela et puis ce serait moins pesant qu’un lourd silence mutin et emplie de gravité… Cela et la petite dose de compassion bienvenue concernant leur ami, après tout ça avait peut-être été un rude coup au moral pour eux.

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Les étrangers s'installent, la porte est refermée, les six personnes et la flambée permettent à chacun de se découvrir de leurs fourrures et de respirer plus sereinement. Les muscles se décrispent, la chaleur fait du bien à tout le monde. Les lanternes sont éteintes, le feu éclaire suffisamment.

"Eh bien... Restez donc ici jusqu'au lever du soleil. C'est une humble demeure de pêcheur, vous comprendrez que je ne peux rien vous offrir de plus que cet abri et ce feu..." De manière implicite, Arthur suggère qu'il n'a pas eu son mot à dire. Un regard sec lancé à Anselme confirme qu'il le considère comme responsable. Quoiqu'il aurait peut-être pu les héberger, mais cela aurait été sa décision... Les deux hommes puent le banditisme, il ne leur fait pas confiance, cela se voit.

"Mhheuh... Ça ira, c'est bon. C'est rien." L'homme grisonnant repousse l'offre d'Anselme. Le regard froid, il détaille son environnement et ses vis-à-vis.

Anselme presse la conversation, de manière à ne pas laisser un silence tendu s'installer. La question se noie dans le blabla du mercenaire, avant que ses condoléances ne s’ajoutent comme un cheveu sur la soupe. Ses questions provoquent des réactions disparates : la femme brune à l'air inquiet regarde à tour de rôle le Lion Rouge et sa voisine. Cette dernière semble jauger Anselme d'un regard circonspect, et semble hésiter à parler. L'archer hausse les sourcils en détaillant les habits du mercenaire. Finalement c'est le grisonnant qui reprend la parole.

"Ouais, ça pas été beau à voir. Du sang partout, ces choses lui sont tombées d'ssus alors qu'y montait la garde. Il s'est fait bouffer vivant, ya pas de doute, on l'entendait encore crier quand on est partis..."

L'ambiance devient pesante et silencieuse, ce que semblait chercher l'homme. Arthur relance pourtant la question, avec une forme d'agressivité dans la voix.

"Et vous êtes d'où, hein ? Drôle d'époque pour partir en voyage avec deux minettes aussi jolies !" dira-t-il en ponctuant sa phrase d'un coup de menton pour désigner lesdites donzelles.

La femme aux cheveux châtains renifle d'un air outré, et c'est l'autre qui répondra à l'insulte qu'elle a cru comprendre : "Nous ne sommes pas des catins ! Tenez votre langue !" Elle a toujours l'air effrayée, ce qui cadre mal avec ses propos.

L'archer intervient finalement, après avoir jeté un regard surpris sur la fille brune : "Wooh ! C'est bon ça va ! Nous venons de la Capitale, on veut rejoindre des parents à Bellefosse. Pas la peine de s'énerver !"

Anselme note parfaitement le mensonge dans ces paroles : l'archer a jeté les noms de villes au hasard, et sous-entend des liens de parenté entre les différents membres du quatuor, alors qu'aucune ressemblance flagrante n'est visible.

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'1D10' :

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Anselme renvoya un regard légèrement désolé à Arthur, mais de l’air de celui qui ne pensait pas vraiment avoir eut le choix à la base. Il aurait dû faire quoi ? Leur dire non ? Et s’ils avaient décidés de les attaquer ou forcer le passage ? Ou d’imposer le fait qu’ils entrent ? Ce n’aurait pas du tout était agréable. Enfin, après c’est ce que pensait le mercenaire, peut-être que ce qui s’était passé le matin avec les dévoreurs l’avait rendu un peu trop prudent le reste de la journée...

Quoiqu’il en soit, le mercenaire remarqua car il n’était pas non plus aveugle, un certain malaise, il avait disons l’impression que les deux femmes ne se comportaient pas exactement de façon solidaire par rapport aux deux hommes du groupe. Ou alors c’était son imagination, mais disons qu’il ne voyait pas forcément de raisons que des aventurières chevronnées soient plus impressionnables ou angoissées que des collègues masculins…

Evidemment, Anselme laissa tout ce beau monde parler et Arthur reposer sa question, en se disant que ce dernier lui aussi devait avoir des doutes à ce sujet, puis il remarqua le mensonge de l’archer et commença alors à se poser des questions. Hum, hum, hum… Il eut alors une idée peut-être un peu plus diplomate que de dire de façon franche qu’ils ne croyaient pas trop en ce bobard, d’ailleurs pourquoi lui mentir ? C’était assez suspect.

« Eh bien, en attendant je suppose que vous aurez peut-être besoin d’un peu de repos ? Et peut-être le désir de récupérer les affaires que vous avez pu laisser à votre campement. Si vous voulez, demain je peux vous escorter en ville et vous amener à la caserne de l’ordre des lions rouges. Mon chef sera sans doute disposé à vous aider, bon ce ne sera peut-être pas pas gratuit, mais pas de raison en dehors de ça de refuser d’aider son prochain... » Il glissait ainsi qu’il faisait partie des lions rouges, en se demandait si cela aurait un effet sur les jeunes femmes...

Quoiqu’il en soit alors qu’il disait cela, il faisait assez attention à l’attitude des autres, notamment des femmes du coup, même s’il essayait de ne pas être trop visible à ce sujet, se disant que peut-être elles auraient une réaction intéressante… Quant à Arthur, il espérait que ce dernier devinerait qu’Anselme essayait quelque chose, à ainsi mettre en avant qu’il était un lion rouge.

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Anselme flaire le mensonge, et s'interroge sur les deux femmes. La gent féminine lui fait-il tant d'effet ? Il faut cependant admettre que quelque chose cloche dans les comportements des individus du groupe.

"Pas besoin d'aide. On sait s'débrouiller." L'homme grisonnant repousse une nouvelle fois l'offre d'Anselme. Il paraît bien décidé à ne pas laisser ses hôtes interférer avec ses propres histoires.

L'archer prend la parole à son tour, avec un drôle de sourire en coin.

"J'avais reconnu le blason, ouais. Un Lion Rouge. Qui dort dans une cabane de pêcheur. Tes amis se sont fait bouffer, ou bien t'as décidé que tu voulais pas mourir pour ta patrie quand les Sudistes attaqueront ? ... Au moins personne pourrait te reprocher ça."

Arthur choisit le mutisme, ne voulant rien révéler concernant la bague des Helosor. A moins qu'Anselme ne vende la mèche ? La femme aux cheveux châtains inspire profondément avant de prendre la parole.

"Vous êtes un Lion Rouge, vous êtes donc un mercenaire n'est-ce pas ? Vous monnayez vos services ?" Sa compagne l'observe à la dérobée, craintive. L'homme grisonnant tousse soudain, coupant la suite qui allait venir.

"Keuh keuh ! ... ouais c'est un mercenaire, un gars qu'on loue pour tuer les autres. Pour ça qu'il est rouge. 'Paraît qu'y préfèrent être en groupe, pas facile de faire une mission seul, trop d'danger..."

Il appuie sa tirade d'une œillade agressive envers les jeunes filles, puis reporte son regard tout aussi noir vers Anselme. La femme aux cheveux châtains s'est tue, mais son regard luit de défi. Sa compagne a baissé les yeux et attrapé sa main, comme pour lui demander de se taire. L'homme reprend la parole en se saisissant de son épée à la hanche.

"Mon couteau s'est émoussé à force de trancher du mort... Permettez ?"

Sans attendre la moindre autorisation, le voilà qui a sorti sa lame sur ses genoux, et qui l'aiguise avec une pierre. Une épée bâtarde, un peu petite pour sa carrure, qu'il ne manie certainement que d'une main. Seule la force pourrait l'empêcher d'arriver à cela : Anselme l'attaquera-t-il ? Les femmes, l'archer, et Arthur semblent passifs. Si toutefois aucune violence ne venait à éclater, Arthur grognerait pour lui-même quelque chose approchant :

"...'me faut raccommoder mes filets..." Et le voilà qui sort ses outils de pêcheur, un grand filet entre ses mains, jetant des regards nerveux aux inconnus devant lui. La tension est montée d'un cran.

"Eh, vous savez combien de temps il nous reste avant l'aube ?..." tente l'archer, pour détendre l’atmosphère.

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Anselme se demandait en vérité s’il avait affaire à un genre de femmes enlevées par deux hommes et qui avaient probablement un avenir sombre qui se profilait. Après, est-ce que c’était le fait qu’elle étaient des femmes qui le poussait à s’intéresser à cela ? Ou plutôt son envie de se comporter d’une façon qui lui vaudrait reconnaissance et admiration ? Notre mercenaire aimait être le bon gars après tout, comme le fait d’aider Arthur en quelque sorte flattait son égo en ce sens. Oh, pas qu’il n’était pas poussé à agir bien, mais il y tirait aussi un certain plaisir dirons-nous...

Quoiqu’il en soit, Anselme ne répondit pas aux paroles sur le fait qu’il était lion rouge de la part du brigand qui se demanda si le mercenaire faisait son lâche en quelque sorte, ni sur les mensonges que proféra celui-ci quand la jeune femme demanda s’il monnayait ses services. Ainsi qu’une menace dissimulée à son égard. Une menace appuyée par un regard noir et le fait qu’il prit en main son épée… Tout cela il ne l’apprécia pas, mais il décida de ne pas y répondre tout de suite...

Il ne reprit finalement la parole que quand l’archer demanda quand l’aube arriverait, ce d’un ton peu amical, en lançant un regard noir à celui qui avait sortit son épée.

« Écoutez, je n’aime pas qu’on mente comme un arracheur de dents, que ce soit concernant mon ordre ou concernant votre petit groupe, mais à la limite qu’on me mente je n'en ai pas grand-chose à faire... » Visiblement il était prêt à bondir alors, se souciant peu de l’avis d’Arthur à ce sujet, il finit alors par trancher avec agressivité, en posant ses mains sur ses genoux, l'une non loin de sa dague...

« Mais je vais vous dire une bonne chose, je n’ai pas l’impression que ces jeunes femmes soient à vos côtés volontairement. Donc si elles le désirent, elles peuvent rester ici et demain je les ramènes aux Havres, et vous, vous n’allez pas protester concernant cela. Sinon, vous allez avoir des problèmes, avec moi et la patrouille dans les environs qui devrait revenir d’ici peu… » Un mélange de menaces et de bluff, il tentait évidemment de les pousser à fuir sans prendre les deux jeunes femmes avec eux et sinon. Il se préparait à se battre, espérant avoir l’aide d’Arthur ou d’une des deux jeunes femmes, mais prêt si nécessaire à prendre le risque d’affronter deux gars à lui seul pour faire ce qui était juste.

Et oui, il était hypocrite à dire qu'il n'aimait pas qu'on mente, en mentant pour sa part, mais cela il n'en avait rien à faire.

Compétences :

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Anselme se tend, et dans le silence général, déclame sa tirade sans aucune interruption. Le Lion Rouge a l'air prêt à bondir, et les autres hommes aussi. La femme brune est très pâle et semble terrifiée, la deuxième oscille entre agressivité et peur. Un blanc succède les menaces d'Anselme... Jusqu'à ce que l'archer se mette à rire. Un bon grand rire franc, pendant quelques dizaines de secondes. Il en a presque les larmes aux yeux quand il s'arrête finalement, le souffle court.

"Aaah... Ah la la ! Tu mens aussi mal que moi ! Que foutrait une patrouille dehors, le dernier membre de l'escouade seul dans une cabane perdue dans le trou du cul du monde ? Des problèmes tu dis ? Petit. Ecoute-moi. Ces filles sont avec nous et elles le restent. Tu as le choix, toi et le vieux, soit on attend tranquillement tous ensemble le jour et on s'en va, soit tu te sens un peu trop héroïque, et tu iras nourrir les poissons. Au moins, la pêche sera bonne !" finira-t-il sur une note joyeuse en regardant Arthur. Celui-ci reste impassible. Un rictus de mécontentement passe sur ses lèvres, mais il reste assis sans réagir de plus.

"C'que tu peux faire, c'est poser ton couteau par terre, gamin. Tout doux."

C'est à la fois un ordre et une menace. Les filles s'agitent, un seul regard de l'homme grisonnant suffit à les faire taire et s'immobiliser.

La scène se fige, attendant la réaction du jeune homme. Le silence s’installe. Le vent au-dehors s'est calmé, on n'entend plus que les échos du ressac sur la falaise, et le crépitement joyeux du feu, ses lueurs dansantes illuminant la pièce de couleurs agréables. En face du feu se tient l'archer. A sa droite, la brune puis celle aux cheveux châtains, au plus près de l'âtre. A sa gauche, se tient l'homme grisonnant, épée dégainée, juste à droite d'Anselme. Arthur se tient à la gauche du Lion Rouge, au plus près du foyer. L'assemblée forme un petit cercle, et tout le monde est assis... Plus pour longtemps ?

Distances : la cabane est petite et bondée, tout le monde est au corps à corps

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'1D10' :

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Anselme sentit avec une certaine frustration que son mensonge venait de tomber à l’eau, soit... Il ne cacha même pas sa colère qui commençait à poindre. Ce alors qu’il analysait la situation pendant que les brigands refusaient tout bonnement d’abandonner les jeunes femmes… Annonçant clairement que si le mercenaire voulait « délivrer » ces dernières en quelque sorte, ce devrait être par la force...

Devait-il engager le combat ? Oui, il ne pouvait pas les laisser partir avec elles sans tenter de les sauver, mais s’il le faisait, est-ce qu’Arthur allait l’aider ? Et l’une des jeunes femmes ? Ou allait-il devoir tenter de vaincre à lui seul ces deux malotrus ? Il espérait bien que quelqu’un l’aide, mais il savait maintenant qu’il était trop tard pour reculer. Non pas qu’il n’avait pas le choix, mais il refusait de lâcher prise maintenant. Ces deux vauriens allaient libérer ces jeunes femmes ou le regretter…

Anselme resta donc silencieux pendant un court instant après qu'on lui ait intimé de déposer son arme… Puis, soudainement, il dégaina d’un geste expert et rapide sa dague alors qu’il se leva rapidement et avança d’un pas vers l’homme grisonnant pour frapper à plusieurs reprises de sa lame ce dernier. Le mercenaire déduisant aisément que l’autre était le plus dangereux des deux comparses, il avait décidé de le neutraliser le premier...

Action 1 : Anselme attaque l’homme grisonnant à la dague

Tentative : 1D10
1d3 de raté anticipée car coéquipiers éventuels
1d2+1 de dégâts (coups puissants)
Zone 1D

Action 2 : Anselme attaque l’homme grisonnant à la dague

Tentative : 1D10
1d3 de raté anticipée car coéquipiers éventuels
1d2+1 de dégâts (coups puissants)
Zone 1D

Action 3 : Anselme se défend (esquive)

Tentative : 1D10 (+1 au résultat car agilité)
Dégâts interceptés : 1D4
Dégâts Réussite / Raté critique anticipé: 1D2 (+1 car coups puissants)
Zone d'attaque : 1D

Compétences :

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Talents :

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Admin

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#1 '1D10' :
Une odeur de poisson 19661210d10

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#2 '1D3' :
Une odeur de poisson 976429992

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#3 '1D4' :
Une odeur de poisson 3798611d4

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#4 '1D2' :
Une odeur de poisson 4595321d2

--------------------------------

#5 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 356640181

Invité

La situation explose ! Anselme attaque soudain l'épéiste, pris au dépourvu. Ses attaques sont parfaitement excécutées, et sa lame se glisse habilement de part et d'autre du gilet de cuir du bandit, tranchant dans chacun des biceps. Du sang coule et l'homme hurle autant de douleur que de surprise. Pour autant, il n'a pas lâché son épée et sa contre-attaque est fulgurante...

---
Bandit grisonnant à l'épée :
Action 1 : attaque Anselme
Tentative : 1D10+1 (arme de prédilection épée 1 main)
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D4+1 de dégâts (coups puissants)
2DZone (Force)

=> 2+1+1=4 dégâts -1 (esquive) = 3 dégâts sur le ventre (choix DZone. Dégâts encaissés par l'armure (reste 1-1-1)

Action 2 : attaque Anselme
Tentative : 1D10+1 (arme de prédilection épée 1 main)
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D4+1 de dégâts (coups puissants)
2DZone (Force)

=> 3+1+1 = 5 -1 (résistance physique) = 4 dégâts sur la cuisse droite (choix DZone)
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L'attaque est brutale et sans pitié. Le Lion Rouge a bien vu venir l'attaque et s'est décalé, réduisant le choc dans son ventre ; son armure l'a aussi protégé ! Mais le deuxième coup taillade profondément sa cuisse : le sang coule abondamment !

De son côté, l'archer dédaigne son arme à distance et sort une dague de ses frusques et se jette à l'assaut.

---
Bandit à la dague :
Action 1 : dégaine sa dague

Action 2 : attaque Anselme
Tentative : 1D10
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D2 de dégâts
1DZone

=> 1 dégât à la jambe gauche

Action 3 : se défend ou défend son camarade (Dextérité)
Tentative : 1D10 (-2 tentative) : Raté
1D3 de raté anticipé car allié proche
Dégâts interceptés : 1D3
Dégâts Réussite / Raté critique anticipé: 1D2
1DZone
---

Il pique au pied gauche d'Anselme, gêné et déséquilibré par son comparse. En se redressant, il tente une parade qui ne lui est d'aucune utilité... Mais il ne reçoit de toute façon aucune attaque.

De leur côté, les deux femmes poussent des cris apeurés en se serrant contre les parois de la cabane. Arthur n'a pas émis le moindre son, mais, agrippé à son filet, il s'est lui aussi vivement décalé vers le feu pour éviter la mêlée.

Compétences utilisées :

Admin

Le membre 'L'Encre' a effectué l'action suivante : Dés du destin

#1 '1D10' :
Une odeur de poisson 4995819d10

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#2 '1D3' :
Une odeur de poisson 274451611

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#3 '1D4' :
Une odeur de poisson 9315032d4

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#4 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 356640181

--------------------------------

#5 '1D10' :
Une odeur de poisson 7282178d10

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#6 '1D3' :
Une odeur de poisson 976429992

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#7 '1D2' :
Une odeur de poisson 4595321d2

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#8 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 6001233511

Invité

Bon sang ! Pour le coup le combat débuta fort, autant d’un côté que de l’autre. Heureusement pensa Anselme, que son armure de cuir le protégeait, mais aussi qu’il était du genre plutôt solide physiquement parlant, car le grisé lui renvoya de sacrées mandales, même si l’archer ne manqua pas de le piquer au passage. Le mercenaire sentait néanmoins qu’il avait encore de la marge, pas tant que ça, mais ça pourrait être pire… De toute façon, maintenant que le combat étant engagé, il fallait faire de son mieux pour vaincre. D’ailleurs...

« Bon sang ! Mais venez m’aider ! » Dit-il aux trois autres avec vigueur comme pour essayer de les secouer un peu, tout en se concentrant sur le combat. Et en attaquant la même cible qu’auparavant, décidé à se débarrasser de celle-ci en première, ainsi avec un peu de chance, l’autre archer ne poserait pas trop de problèmes... Anselme après tout était bien conscient de ne pas être le meilleur combattant au monde à la dague, mais il avait intérêt à faire de son mieux… Surtout si les trois autres ne se bougeaient pas et qu’il devait gagner une lutte à un contre deux.

Tout cela évidemment il essaya de le faire, en se donnant un air redoutable dans sa façon de se battre, espérant bien que cela déstabiliserait peut-être un peu les ennemis.

Action 1 : Anselme attaque l’homme grisonnant à la dague

Tentative : 1D10
1d3 de raté anticipée car coéquipiers éventuels
1d2+1 de dégâts (coups puissants)
Zone 1D

Action 2 : Anselme attaque l’homme grisonnant à la dague

Tentative : 1D10
1d3 de raté anticipée car coéquipiers éventuels
1d2+1 de dégâts (coups puissants)
Zone 1D

Action 3 : Anselme se défend (esquive)

Tentative : 1D10 (+1 au résultat car agilité)
Dégâts interceptés : 1D4
Dégâts Réussite / Raté critique anticipé: 1D2 (+1 car coups puissants)
Zone d'attaque : 1D

Compétences :

Spoiler:

Talents :

Spoiler:

Spécial :

Spoiler:

Admin

Le membre 'Anselme Thileïm' a effectué l'action suivante : Dés du destin

#1 '1D10' :
Une odeur de poisson 7282178d10

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#2 '1D3' :
Une odeur de poisson 976429992

--------------------------------

#3 '1D2' :
Une odeur de poisson 1950902d2

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#4 '1D4' :
Une odeur de poisson 7277933d4

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#5 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 942572326

Invité

Anselme appelle à l'aide, en continuant de se battre... Alors qu'Anselme inflige une sévère blessure à la jambe gauche du bandit, après que sa première attaque ait buté sans effet contre son gilet de cuir, un soudain cri résonne juste à sa gauche : Arthur lance son filet à la figure de l'épéiste !

---
Arthur :
Action 1 : se prépare à lancer son filet

Action 2 : lance le filet sur le bandit grisonnant
Tentative : 1D10 : raté
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D4 rounds d'immobilisation
DZone
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Le filet est jeté et touche l'homme sans le gêner avant de tomber en tas par terre. Celui-ci ne se laisse pas impressionner par Anselme, qui démontre pourtant une prestance hors du commun, et ne se déconcentre pas.

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Bandit grisonnant à l'épée :
Action 1 : attaque Anselme
Tentative : 1D10+1 (arme de prédilection épée 1 main)
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D4+1 de dégâts (coups puissants) : 3+1+1-1 = 4 dégâts à la tête
2DZone (Force)

Action 2 : attaque Anselme
Tentative : 1D10+1 (arme de prédilection épée 1 main)
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D4+1 de dégâts (coups puissants) : 1+1-1 (armure) = 1 dégât au torse
2DZone (Force)
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Malgré une tentative d'esquive, Anselme prend coup sur coup. Un premier coup finit d'éparpiller en lambeaux sa veste de cuir et le blesse légèrement. Le second coup vicieux frappe à la mâchoire ! Un être moins résistant que ce Lion Rouge serait peut-être tombé à la renverse à ce moment-là.

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Bandit à la dague :
Action 1 : attaque Anselme
Tentative : 1D10 raté
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D2 de dégâts
1DZone

Action 2 : attaque Anselme
Tentative : 1D10
1D3 de raté anticipé car allié proche
1D2 de dégâts : 2 - 1 (résistance physique) = 1 dégât jambe droite => blessure hémorragique, perte d'un point de sang supplémentaire
1DZone

Action 3 : se défend ou défend son camarade (Dextérité)
Tentative : 1D10 (-2 tentative) : raté critique = trébuche (prochaine action se relève)
1D3 de raté anticipé car allié proche
Dégâts interceptés : 1D3
Dégâts Réussite / Raté critique anticipé: 1D2
1DZone
---

Le deuxième bandit est gêné par le filet. Si l'une de ses attaques porte, déséquilibré, il s'écroule lourdement au sol. Mais cette pique supplémentaire à la jambe a du toucher une artère... Le flot de sang jaillit, Anselme peut sentir qu'il faiblit...

---
Femme brune :
Action 1 : se prépare à lancer un pot en terre cuite

Action 2 : lance le pot en terre cuite sur le bandit à la dague
Tentative : 1D10
1D3 de raté anticipé car allié proche : raté critique, s'inflige 1 point de dégât
1D2 dégâts
DZone
---

Avec un cri de défi, l'une des femmes semble profiter de la situation pour lancer des objets à portée de main. Quand la brune s'empare d'un pot en terre cuite, l'anse se brise dans sa main et le pot lui tombe directement sur le pied. Un cri de douleur et d'incompréhension suit, alors que la femme se demande ce qui a bien pu arriver...

Compétences utilisées :

Admin

Le membre 'L'Encre' a effectué l'action suivante : Dés du destin

#1 '1D10' :
Une odeur de poisson 5212884d10

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#2 '1D3' :
Une odeur de poisson 274451611

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#3 '1D4' :
Une odeur de poisson 9315032d4

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#4 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 6001233511

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#5 '1D10' :
Une odeur de poisson 5212884d10

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#6 '1D3' :
Une odeur de poisson 274451611

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#7 '1D2' :
Une odeur de poisson 1950902d2

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#8 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 6001233511

Invité

Bon sang, il avait tellement mal ! Il saignait et il n’était absolument pas sûr de réussir son coup... Au moins, Arthur et l’une des jeunes femmes essayaient de l’aider, même si pour le coup ils n’avaient pas encore été d’une grande aide. Bon sang, et fuir était hors de question car en plus de ne pas savoir si ça allait marcher, il ne pouvait pas abandonner les autres à leur sort. Soit, il fallait insister ! S’il arrivait à mettre à terre le plus dangereux des deux, ce serait déjà ça ! Ne resterait ensuite que l’autre, peut-être pourrait-il s’en occuper, sinon les autres à trois pourraient y arriver contre un seul...

Quoiqu’il en soit, Anselme passa à nouveau à l’attaque, avec une férocité presque meurtrière. Là il n’était plus dans l’optique de frapper pour juste mettre hors combat, si ses coups aboutissaient à la mort de l’autre, alors soit ! Ils verraient bien lequel des deux allait remporter ce petit duel… Tous ses coups de dagues étaient à l’intention du grisonnant, du moins jusqu’à ce que celui-ci soit à terre et si possible il pouvait se préserver d’une éventuelle attaque qui finirait de le mettre au sol, ce ne serait pas plus mal...

Action 1 : Anselme attaque l’homme grisonnant à la dague

Tentative : 1D10
1d3 de raté anticipée car coéquipiers éventuels
1d2+1 de dégâts (coups puissants)
Zone 1D

Action 2 : Anselme attaque l’homme grisonnant à la dague

Tentative : 1D10
1d3 de raté anticipée car coéquipiers éventuels
1d2+1 de dégâts (coups puissants)
Zone 1D

Action 3 : Anselme se défend (esquive)

Tentative : 1D10 (+1 au résultat car agilité)
Dégâts interceptés : 1D4
Dégâts Réussite / Raté critique anticipé: 1D2 (+1 car coups puissants)
Zone d'attaque : 1D

Compétences :

Spoiler:

Talents :

Spoiler:

Admin

Le membre 'Anselme Thileïm' a effectué l'action suivante : Dés du destin

#1 '1D10' :
Une odeur de poisson 4024276d10

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#2 '1D3' :
Une odeur de poisson 976429992

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#3 '1D2' :
Une odeur de poisson 1950902d2

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#4 '1D4' :
Une odeur de poisson 9315032d4

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#5 'Zone d'attaque' :
Une odeur de poisson 2788227012