Vara de Longuenuit

Vara de Longuenuit

Age : 23 ans

Surnom : « Lumière » à cause de son visage rayonnant, sympathique, et de son empathie envers les autres.

Droitier / Gaucher : Droitier

Race : Humain

Classe : Paladin

Métier : Noble

Alignement : Loyal neutre

Inventaire du personnage : Cheval de selle avec selle & harnais, Atours de noble, Bijoux (valeur de 5D6 d’or) + épée 1 main

Or : à définir.

Apparence physique :
Bien que sa carrure n'égale pas avec celle d'un barbare ou d'un gladiateur, Vara possède des muscles noueux lui octroyant une véritable force qui, à défaut de lui permettre de soulever d'énormes marteaux de guerre, lui permettent de manier l'épée et de porter des armures de plates avec aisance. Il mesure environ un mètre quatre-vingt cinq pour quatre-vingt kilogrammes. Son visage plutôt féminin, aux traits gracieux et élégants rehaussés par sa chevelure corbeau et légèrement bouclée qui lui tombe sur les épaules, évoque celui d'un garçon malicieux, plein d'astuce. Sa bouche se fend souvent en un sourire enfantin, révélant une dentition soignée, luxe de la noblesse, ainsi que deux fossettes discrètes. Quant à sa voix, elle est douce et claire, et Vara parle souvent sur un ton serein, apaisant, quand il n'est pas en train de rire. Il est presque totalement imberbe et on le jurerait comédien s'il ne possédait pas d'atours aussi riches et travaillés, hors de portée de la bourse d'un troubadour. D'ailleurs, le paladin ne porte jamais de tenues farfelues ou de la dernière élégance, préférant des habits simples aux couleurs claires, souvent bleues, qui ne le différencient du badaud que par la noblesse de leurs tissus et la finesse de leurs broderies. Il possède de longues jambes fines qui lui donnent une démarche aussi assurée que féline.

Caractère/Mental :
Vara est un être droit, loyal, faisant fie l'origine sociale ou de la race de son interlocuteur, préférant se baser sur des critères plus intimes et personnels. C'est un jeune homme rieur, empathique, courageux et volontaire, quelque peu aventurier, profondément aimant et prêt à braver maints dangers pour une cause, un amour ou pour la justice. Il est d'un naturel diplomatique et pacifiste, tentant toujours de régler les problèmes par les dialogues, sans hésiter toutefois à utiliser son épée quand toutes les solutions envisagées n'ont mené à rien. Le paladin aurait été prêtre s'il ne désirait pas autant parcourir le monde pour en découvrir les secrets, car il dévore les livres comme les ogres dévorent les enfants, et l'ignorance l’exècre peut-être encore plus que la nécromancie. Mais c'est surtout quelqu'un qui place le partage et l'écoute comme vertus capitales, et qui pense que les tours des mages et autres ensorceleurs ne sont rien face à la véritable force de la vie et de l'amour. Il est pourtant loin d'être un idéaliste ou un utopiste, et son pragmatisme désarmant tranche étonnement avec sa bonne humeur naturelle. Il se définit plutôt comme un observateur, tentant de changer la vie de ceux qu'il croise en mieux, à son échelle, sans avoir le dédain de prétendre pouvoir changer le monde.

Le paladin aime la compagnie de tous, appréciant en chacun un trait précis. Aussi pourra-t-il rompre le pain avec le poète, subjugué par la beauté de ses chants, ou admirer les étoiles avec une fille issue d'une famille puissance, admirant le raffinement de ses manières ou la pureté de ses traits, tout en étant capable de renverser sa bière aux côtés de bandits sympathiques aux boutades grossières ou aux histoires de pugilat insensées dont il raffole. Vara est donc quelqu'un de complet, polyvalent, aux centres d'intérêt vastes et divers, qui cache aussi quelques fragilités. Lui qui donne tout et fait confiance ne supportera pas d'être trahi, il peut ainsi tomber dans de profonds chagrins et entrer dans des colères noires par dégoût. Mais, au final, un sourire revient toujours illuminer son visage.

Dons et/ou Talents :
Sorts : Soins légers, Bénédiction, Détection du poison

Compétences et caractéristiques :
-Classe :
Compétences : Alphabétisation, Connaissance des démons, Connaissance des morts vivants, Connaissance de la Religion, Concentration, Esquive, Force accrue, Pathologie, Réflexes de combat, Utilisation d’objets magiques
Caractéristiques :  Force, Intelligence
-Métier : Alphabétisation, Bluff, Équitation, Éloquence, Escrime, Jeu, Musique, Résistance à l'alcool
-Race : +1 compétence : Perception

Histoire : Vara est né quinze ans après la mort du roi Swen, soit il y a vingt-trois ans. Il est issu d'une ancienne famille de la Cité Impériale, les Longuenuit, connus pour être de fervents ennemis des nécromants et de puissants mages. Bien qu'il partage avec sa famille ce premier trait, il est en revanche très loin du deuxième. Déchiffrer les arcanes du monde et en percer les secrets, la toile brute, ne l'a jamais vraiment intéressé, c'est pourquoi très tôt il s'orienta vers les arts plus concrets de la voie du Paladin. Car c'est bien l'humain, et la vie en générale, qui l'intéresse au plus haut point, bien qu'il partage avec les conjurateurs l'amour du savoir. C'est pourquoi ses parents envisageaient de faire de lui un prêtre, afin de le garder à la cité tout en lui permettant d'aider son prochain comme il semblait tant le désirer, mais Vara voulait découvrir le monde, persuadé qu'il ne ferait que de rater la vie s'il la passait à l'abri derrière de hauts murs et d'innombrables privilèges.

Le chemin du paladin ne fut pas pour autant aisé, le jeune homme rechignant à combattre au début, préférant, à son habitude, la compagnie des livres à celle du maître d'armes de la maison. Mais à force de travail et de rigueur, le frêle petit garçon devint un homme plein d'assurance, apprécié et assez courtisé pour sa beauté, la valeur de sa lignée ainsi que son esprit éclairé. Pour autant, la politique ne l'intéressait pas le moins du monde, il ne désirait pas se marier par enjeu comme il est de coutume dans la noblesse. Une chance pour lui de n'être que le quatrième en ligne pour l'héritage, car son frère aîné ne pourrait jamais jouir d'autant de libertés que lui.

C'est ainsi qu'il passa sa jeunesse, à rencontrer les autres, petites gens ou sang-bleu, avalant le plus de connaissances possibles, perfectionnant ses bottes, sa vigueur, sa tenue sur une monture, son éloquence et ses bonnes manières, comme le veut l'éducation chez les nobles, ainsi qu'aux arts plus nouveaux et, plus archaïques, de la médecine. Ainsi, à l'aube de sa vingt-troisième année, le jeune homme se sentit prêt pour quitter la cité et parcourir le monde.

Remarque? Juste dire bravo pour le forum, il est bien complet, ça donne vraiment envie de s'investir !

Ou avez vous connu le forum? Je traînais sur de site partenaire en site partenaire.