Age : 28 ans
Surnom : Professeur, dû à son amour des livres, ce qui détonne dans son monde professionnel.
Droitier / Gaucher : Droitier
Race : Humain
Classe : Guerrier
Métier : Mercenaire
Alignement : Chaotique Bon
Inventaire du personnage : Chemise de mailles, Bouclier en bois, Arc Court avec munitions (16), épée à une main.
Or : 2D10
Apparence physique : L'apparence extérieure de Reyar est radicalement différente en fonction de sa situation géographique. Dans sa ville, la Cité Impériale, celui-ci garde des cheveux et une barde courte, bien taillé sous tout les angles, raffiné et élégant, comme il l'apprécie. A l'extérieur, le plus souvent en mission sur les routes, il ne tient guère à ces futilités esthétiques qu'il apprécie pourtant tant à la ville. La chevelure grasse et la barde épaisse, son allure est digne de l'image d'un mercenaire. Cela peut sembler contradictoire, mais en mission, il préfère largement aiguiser la lame de son épée, que de prendre soin de sa peau. Chaque chose en son temps, comme il le dit souvent.
En dehors de son goût pour une certaine qualité d'hygiène quand il réside en ville, le reste de son accoutrement reflète avec simplicité son métier, celui d'un mercenaire, se battant par la force de ses bras, bravant la destiné pour quelques pièces sonnantes et trébuchantes. Légèrement plus grand que la moyenne, environ six pieds de haut. Reyar possède une bonne largeur d'épaule, le tout en complément d'une musculature plutôt bien équilibrée, suffisamment bâti pour pourfendre un adversaire d'un coup d'épée à deux mains, mais gardant une habilité pour gérer les hasards du combat et des rencontres. Des cheveux noir de jais et des yeux noisettes, son visage est marqué par son mode de vie, qui ne lui rend pas grâce, même s'il serait injuste de dire que son visage ne démontre pas un certain charme. Son dos présente des marques particulière voyantes, des cicatrices démontrant un manque de soin d'une ancienne blessure, zébrant toute son échine.
Caractère/Mental : L'apprentissage, c'est un élément important de sa philosophie de vie. Reyar aime comprendre les choses, lire est une passion qu'il s'est découvert à l'enfance. Cela n'est pas pour rien que son comportement intrigue dans son milieu où se sont plus souvent les armes qui sont affûtées, plutôt que les langues. Les traits d'esprits, le sarcasme et les jeux de mots sont une de ses manières de communiquer, son langage est bien plus élégant que celui de ces collègues, même si son talent une arme à la main à démontré à ses comparses que même si souvent, son parlé est digne d'un érudit, il n'en reste pas moins un mercenaire.
Pour ce qui est sa probité, il n'a jamais été un grand amoureux des lois, voyant trop souvent cela comme un système qui permet à ceux possédant les pouvoirs nécessaires, de tenir la société. Pour autant, Reyar n'a pas pour habitude de les franchir ou même d'avoir l'idée saugrenu de partir en croisade contre les instances dirigeantes. Après tout, d'après lui, la loi permet de tenir en ordre la société et tant qu'elle ne se met pas en travers de son chemin, cela ne l'importe pas tant que cela.
Même si Reyar est un homme de guerre, habitué à tuer, à répandre le sang, il n'est pas homme cruel, ni sans bonté. Même si le temps où il pouvait se permettre de pleurer sur le destin des malheureux est depuis longtemps révolu. L'usure de son existence à fini par éroder son cœur, même si celui-ci peut toujours se dépérir du désastre et de la cruauté des êtres conscients. Son sens de la camaraderie est fort, même si souvent tiraillé par son instinct de survie qui ne voudrait pas forcément faire ce que sa conscience attend de lui. Il en reste pas moins quelqu'un d'honorable, le mensonge est rare dans ses paroles, même si cela est parfois nécessaire, le pragmatisme reste une valeur sûr à ces yeux, le fanatisme une absurdité et l’imbécillité un affront à ces yeux.
Dons et/ou Talents : • Maniement d’armes exotiques (Elfique)
• Capable d’attirer les ennemis s’attaquant à d’autres membres du groupe.
• Arme de prédilection (Épée à une main)
Compétences et caractéristiques : Force, Charisme
-Classe : Coups puissants, Désarmement, Dressage, Équitation, Escalade, Esquive, Estimation, Intimidation, Natation, Saut.
-Métier : Conduite d’attelage, Pistage, Combat monté, Coup puissant, Désarmement, Équitation, Estimation, Filature, Survie.
-Race : Alphabétisation
Histoire : Son enfance, voir sa vie, n'est en rien extraordinaire à ses yeux. Même si cela n'attriste en rien Reyar, il se considère chanceux, de par sa naissance et son enfance, il eut ce que peu eurent droit : Le loisir de choisir sa destiné ! Il ne se souvient pas de sa mère, morte quand il était plus jeune, seulement de son père, plus souvent absent qu'à la maison. Reyar ne parle presque jamais de son enfance, son père travaillant en tant que serviteur pour une famille noble, l'argent et la nourriture ne fut jamais un souci pour lui, même son éducation et la possibilité d'avoir quelques livres empruntés à la famille de l'employeur de son père, fait qu'il trouve qu'en parler est déplacé, face à des gens ayants eut des vies si durs en comparaison de la sienne. Même s'il n'aborde pas le sujet, il ne rejette pas son passé, ni ne souhaite l'oublier, c'est juste qu'il a décidé de garder pour lui son agréable enfance, dans une forme de décence envers d'autres.
Bien que destiné comme son père à servir, Reyar décida qu'il y avait bien d'autres choses dans le vaste monde plus intéressante, plus exaltante, qu'un servile travail platonique. C'est ainsi qu'en jeune homme, Reyar décida de prendre le peu qu'il avait avant de partir à l'aventure. Ne connaissant guère les secrets de la nature, il fait route vers la Cité Impériale, bien peu lointaine, la connaissant même un peu, par différents voyage en compagnie de son père, dans le cadre de son devoir de serviteur. Bien qu'ayant une éducation bien supérieur à la populace des rues, cela ne l'aida guère à trouver de quoi vivre, n'ayant aucune expérience ou formation particulière. Bien vite, il du faire comme bon nombre, voler sur quelques étales pour pouvoir calmer le grondement de son ventre. Bien malheureusement pour lui, le talent du vol n'était pas à sa porté, il fut un jour prit et amené à la garde de la ville. Garde qui le fit comparaître devant des magistrats. Son cas fut traité d'une manière expéditive et le jugement prononcé : 20 coups de fouet et quelques années de travaux forcés.
Cette longue période fut à ses yeux la plus sombre et dur de son existence, même la vie sur un champ de bataille, où l'honneur n'existe que dans les livres, n'était en rien comparé à la privation de son existence. Plus encore que la charge de travail quotidienne, dans les mines ou les bois, ou bien encore que le manque de nourriture, ce fut bien le fait d'être tel un oiseau en cage qui le brisa le plus. Le seul point qui ressorti positivement de son incarcération, fut de faire de lui l'homme qu'il est. De jeune homme à adulte puissamment bâti, même s'il lui manquait encore le savoir de la technique de combat.
Après quelques années, la liberté lui fut redonnée. Ne sachant que faire, Reyar vagabonda sans raison dans la Cité Impériale, jusqu'à que sa route croise un petit bâtiment, n'ayant pour symbole d'un bouclier noir. La sortie d'un groupe d'hommes en armes l'intrigua d'autant plus. Il ne lui en fallait pas plus pour ainsi se décider à rejoindre ce qu'il apprendrait être la Compagnie du Bouclier Noir, un des innombrables groupes de mercenaires de la Cité Impériale. Sa formation fut rude, d'autant plus qu'il n'était pas encore rémunéré, n'ayant pas la possibilité d'aller sur le terrain. Le Bouclier Noir étant reconnu comme un groupe soudé, où les formations de combats et la tactique était bien plus élaboré que dans bien d'autres groupes de mercenaires, qui se contentait bien souvent d'aligner les têtes sur le champ de bataille. Ce fut bien des années plus tard, une expérience significative en main, que Reyar trouva sa place au Bouclier Noir, ayant même pour lui le plaisir d'avoir le surnom de
Professeur, il était après tout bien le seul à préférer dépenser son argent en livres ou parchemins, plutôt qu'en boisson. Mais ainsi était ce qu'il considérait comme sa vie, son plaisir, ça et l'aventure des missions, dangereuses mais qui l'amenait à connaître un peu le frisson qui fait le sel de la vie.
Remarque? … Comment ça, c'est pas une réponse ? >_<
Ou avez vous connu le forum? Nouveau personnage, l'autre est mort en tombant dans les escaliers ! Pauvre Destin face à l'intransigeance des Saints Dès !