Nom : des Ravana

Prénom : Laïr'luès

Age : 55 hivers

Surnom : Lahire

Droitier / Gaucher : Droitier

Race : Rakshasa

--------------------
Classe : On ne peut plus.

Métier : Pugiliste confessionnel
--------------------

Alignement : Chaotique neutre

Inventaire du personnage :
Sac du roublard : Un gilet de maille, un arc long, un trousseau d'outils de crochetage, des accessoires de déguisement.
Objets raciaux : un anneau de bois précieux vernis, un objet-portail ayant la forme d'un monocle. Quelques tatouages.

Or : 2D6

Apparence physique : 1m86, 95kg.
L'apparence physique de Lahire, peu de gens de ce plan la connaissent. Ses parents pourraient vous dire, si tant est qu'ils veuillent monologuer un bout avec leur nourriture, qu'il s'agit d'un spécimen assez massif, bien que peu remarquable pour autant. D'un gabarit charpenté, il reste tout du moins d'une taille moyenne, et se fond aisément dans la masse - du moins quand il se déguise en boustifaille. Seuls quelques cicatrices, certains tatouages, sa fourure sombre et tachetée ainsi que sa paire d'yeux d'un bleu intense le distinguent de ses correligionnaires et frères démons-chats.

Caractère/Mental :
60 ans est un âge vénérable pour les Hommes. Pour un Rakshasa, c'est le moment où on atteint une certaine maturité. Et cela se ressent chez notre félidé : après avoir passé une jeunesse tapageuse à faire la noce et mettre le boxon parmi son clan, il commence désormais s'intéresser au pouvoir. C'est qu'il n'a rien pour lui, le tigrou, du moins matériellement. Et à force de s'être frotté avec nombre de ses parents et cousins, il a fini par comprendre l'intérêt du calcul et de la fourberie. Il tente donc de s'apaiser, de se montrer flegmatique, transformer son mal en patience. Mais il tente seulement, et derrière sa composition vaguement tranquille, il y a toujours un estomac qui crie famine, une main assoiffée de sang, un pied qui s'impatiente et une braguette incapable de rester boutonnée.

Attitude paradoxale : Violence & tranquillité.
Faiblesses : Fougueux, cupide, jouisseur.

Caractéristiques :
Force & Dextérité
Compétences :
Acrobatie, Escalade, Escamotage, Saut, Déplacements silencieux (urbain) ; Adresse au tir, Coups puissants, Force accrue, Combat à l'aveugle, Résistance physique, Bagarre ; Evaluation, Alchimie, Préparation des poisons, Fouille.
Compétences raciales :
Camouflage souterrain, Connaissance des Ombres, Connaissances (exploration souterraine), Imitation, Vision nocturne (18m).
Talents :
- Poings d'acier : Les poings de votre pugiliste causent 1D3 de dégâts.
- Grimoire (Prêtre de Faerun) : Bénédiction, Sanctuaire & Sanctuaire.
Dons raciaux :
- Immunité aux maladies
- Télépathie (Lecture des pensées humaines, fonctionne à vue)
- Changeforme

Histoire :
La Cité, ainsi qu'on nomme la Cité impériale, est un endroit dangeureux, mais également un carrefour des fortunes pour qui est prêt à se donner la peine de parvenir. Peut-être est-ce pour cela que le clan des Ravana a peu à peu délaissé son territoire aux bouches marécageuses du fleuve Impérion, fleuve traversant la Cité et nommé ainsi faute d'avoir pu trouver son véritable nom, pour s'installer plus définitivement dans l'ancienne capitale de l'Empire nordique.
Laïr'luès n'a jamais connu les anciens territoires de chasse des Ravana, ni même le temps où les dieux étaient encore présents. Il passa son enfance à la ville, et en prit bien des habitudes. Peut-être pourrait-on dire qu'il est plus impérobourgadin que les plus vieilles familles humaines locales, car depuis près d'un demi-siècle, il tâte le pouls de sa ville natale, il la voit se dilater ou se réduire, inspirer et expirer ; à part ses quelques rares séjours dans les cités portuaires du monde civilisé, il y a toujours vécu.
Mais à présent, les choses changent pour lui. A présent dans la force de l'âge, et mûr de ses expériences (comprendre ses mésaventures et divers échecs), Laïr'luès sent qu'il lui faut autre chose sans parvenir à le formuler. Doit-il prendre le large, partir par delà les murs de la Cité, trouver fortune et femme à son pied ? S'agirait-il de monter les échelons de la bonne société locale, humaine ou rakshasa, afin de gagner en stature ? Ou se peut-il que ce mystérieux besoin qui naît en lui est celui de réaliser ce secret fantasme que porte, selon lui, tout Rakshasa en son coeur : perpétrer la plus grande chasse, le plus grand carnage que sa race ait jamais vu ?

Remarque?
Non.

Ou avez vous connu le forum?
Sur un autre forum dont le nom m'échappe.