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Wyman Velaryon

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Wyman Velaryon Empty110
MessageSujet: Wyman Velaryon   Wyman Velaryon 1x1emp1009/05/17, 01:19 pm



Wyman Velaryon



Age: 21 années

Surnom : L'ombragé

Droitier / Gaucher : Droitier

Race : Humain du Nord, des Havres

Classe : Guerrier

Métier : Écuyer

Alignement : Neutre Bon

Inventaire du personnage : Petit cheval sellé et harnaché, Outils d'artisan, épée une main

Or : 2d10

Apparence physique :

Wyman est garçon bien bâti, un bon mètre quatre-vingt cinq pour plus de quatre-vingt kilos. Il doit sa carrure solide à sa jeunesse passée dans la rue, à se défendre contre des garnements plus grands et plus violents mais aussi à ses talents de nageur. Son visage est droit, fier, rugueux et austère diront certains, avec une mâchoire osseuse et un menton volontaire, un nez fin et des traits épurés rehaussés par ses yeux d'un vert clair qui scrute toujours froidement les alentours. Ses cheveux raides et noirs corbeau lui couvrent les oreilles et lui retombent sur le front et les tempes comme des serres lui agrippant la tête. Il n'est pas rare de le voir avec une barbe de trois jours, Wyman se rasant quand il le peut et dédaignant cette tâche, même si l'aspect ridicule de sa barbe inégale le pousse très vite à passer un coup de lame sur les touffes hirsutes qui gangrènent ses joues ça et là. Il s'habille généralement de manière simple, privilégiant des vêtements solides et pratiques aux couleurs sombres et discrètes plutôt que des atours raffinés aux couleurs bariolées qu'il, de toute manière, ne pourrait pas s'offrir.

Caractère/Mental :

S'il y a bien une chose de sûre en ce bas monde, c'est que Wyman n'a pas volé son surnom de l'Ombragé, et pour cause, sa mauvaise humeur presque constante qui peut vite se muer en colère ont fait sa réputation dans le quartier pauvre où il réside. Le garçon a pourtant bon fond, il ne supporte simplement pas la présence d'indésirables, de vauriens, de personnes qu'il arrive à cerner en un coup d’œil. C'est donc quelqu'un de difficile à atteindre, mais il se montre concerné et attentif envers ceux qui ont pu briser ce rempart acéré qu'est son caractère.
Wyman est un gars malin, d'aucuns diraient intelligent s'il avait eu accès à la culture, il a du flaire et sait repérer les traquenards ou les mauvaises personnes. Il évite en général de se mêler des affaires des autres, le monde peut bien évoluer comme il l'entend, si ça ne le touche pas directement alors il se sentira pas concerné, non pas par égoïsme mais plutôt par une certaine timidité pudique.
De même, il essaie de ne jamais faire aux autres ce qu'il n'aurait pas aimé qu'on lui fasse, du moins quand le terrain est neutre, car si quelqu'un empiète trop sur son territoire ou tente de lui faire du mal, Wyman ne rencontrera aucune difficulté à utiliser la violence sous toutes ses formes, à menacer ou intimider pour que le danger s'éloigne de lui.

Mais en règle général, l'ombragé est quelqu'un de calme, réservé, jamais plaintif, plutôt contemplatif, ni fier ni sans estime pour lui-même, tentant simplement de s'en sortir en gardant un minimum d'honneur pour sa personne.

Dons et/ou Talents :

• Maniement d’armes exotique : Elfique
• Capable d’attirer les ennemis s’attaquant à d’autres membres du groupe
• Arme de prédilection : épée une main

Compétences et caractéristiques :
-Classe : Coups puissants, Désarmement, Dressage, Équitation, Escalade, Esquive, Estimation, Intimidation, Natation, Saut.
Force, Charisme
-Métier : artisanat, dressage, combat monté, cuisine, équitation, esquive, estimation, premier secours, soin des animaux, survie
-Race : Sixième sens / Immunité aux maladies

Histoire :

 « Ton père y r'viendra jamais Velaryon, y s'est paumé en mer comme tous ces crétins d'marins qu'ont pas les couilles d'affronter la rue ! »

Voilà déjà des années que le père de Wyman avait pris le large pour ne plus jamais réapparaître, le laissant seul avec sa mère malade et sans le sou, prétextant partir en quête de richesses et jurant de revenir très vite. Pourtant, et depuis son départ, il n'y a pas un jour sans que le petit ombragé scrute les flots, guettant son retour en vain. Quelques fois, lorsque la peine est plus forte que les autres jours, Wyman se jette à l'eau et nage le plus loin possible comme pour l'atteindre et en même temps se laisser emporter par les vagues, résigné. Là, l'espoir et l'abandon se mélange tout deux au plus au point, se mêlent et s'entremêlent pour créer la rage, la colère, la peine. Mais au dernier moment, et à chaque fois qu'il commence à manquer de souffle, le gamin retrouve le chemin de la plage, trop effrayé pour rejoindre les abysses. Chaque jour c'était le même cirque, il passait de longues heures assis sur le sable, rejoignant l'eau quelques fois, pleurant devant elle parfois, mais toujours les poings serrés.

Mais lors d'une nuit sans nuages et sans sommeil, alors qu'il contemplait la lune miroiter sur les vagues agitées, il se passa quelque chose d'inédit. Là, dans la pénombre, il crut distinguer ce qui ressemblait à une petite barque malmenée par les flots. Wyman se rapprocha de la mer jusqu'à ce que l'écume lui caresse les pieds et écarquilla les yeux, l'embarcation venait de chavirer. Sans plus réfléchir, le brun se jeta à l'eau pour la rejoindre le plus vite possible. Et si c'était son père ? Non, impossible, la barque semblait quitter le rivage et non le rejoindre. Peu importe, au final, quelqu'un allait certainement se noyer s'il n'agissait pas, alors il redoubla d'efforts, luttant contre les hautes vagues, le sel, la nuit, pour finalement arriver à destination.

Il y trouva une silhouette encapuchonnée passée par dessus bord qui tentait tant bien que mal de s'accrocher à la barque sans pouvoir pour autant grimper à nouveau dessus. Là, dans la nuit claire, Wyman reconnut le visage d'une jeune fille certainement âgée d'une douzaine d'années comme lui, aux cheveux blonds trempés et aux yeux bleus effrayés.

 « Accroche-toi ! », lui hurla-t-il alors qu'il se hissait sur l'embarcation.

Après des minutes de luttes, c'est totalement épuisés que les deux jeunes s'échouèrent enfin sur le sable de la plage des Havres sans qu'aucun ne dise quoique ce soit, trop fatigués et impressionnés. C'est finalement la jeune fille qui brisa le silence.

 « Merci... Sans toi je crois que je serai au fond de la mer. Je m'appelle Ellie, et toi ? »

Le garçon la scruta un moment avant de répondre. Le ton dans sa voix, la pureté de ses traits, la finesse de ses vêtements, il n'y avait aucun doute, cette fillette était de noble sang.

 « Wyman. Qu'est ce qu'une noble faisait seule sur un radeau à une heure pareille, sans gardes et, apparemment, sans savoir naviguer ? Les filles comme toi, si elles tombent sur les mauvais gars, on les retrouve jamais. »

Il parlait calmement et sans reproche dans la voix, sa curiosité ayant simplement piqué son jeune esprit.

 « Ce ne sont pas tes affaires. Et pour ta gouverne, je n'ai pas peur. »

 « Alors pourquoi est-ce que tu fuyais ? »

Le silence retomba, la réponse ayant pris de court la jeune fille. Wyman s'attendait à ce qu'elle s'énerve ou pleurniche comme toutes ces filles au sang bleu qui chouinent sans arrêt, petites capricieuses, mais c'est un grand sourire qui vint illuminer le visage de la blonde, suivi d'un rire pur et enjoué. Le brun ne comprenait pas sa réaction, et encore moins la sienne puisqu'il se mit à rire avec elle.

Ellie lui expliqua qu'elle fuyait son père et sa famille parce qu'elle ne voulait pas finir comme ces godiches à qui l'on apprend la musique et les bonnes manières, elle vouait voir le monde, choisir elle-même son mari, avoir le droit de se battre quand quelqu'un lui casse les pieds. Wyman lui expliqua son histoire, ils partagèrent de longues heures avant que la jeune fille ne se décide à rentrer afin d'éviter les soupçons, et depuis ce jour, les deux âmes ne se quittèrent plus.

La curiosité se transforma en amitié, l'amitié en désir, le désir en amour, mais cet amour était impossible, jamais une noble d'aussi bonne famille ne pourrait épouser un gaillard des bas-fonds, aussi malin puisse-t-il être. Ils continuèrent pourtant de se voir, Wyman lui faisant découvrir la ville lors de leurs soirée clandestines, elle lui fournissant de la nourriture les jours difficiles et très vite le père de l'ombragé ne devint plus qu'un fantôme du passé, sa peine remplacée par l'amour.

Récemment, alors qu'il s'apprêtait à la rejoindre en bas de sa fenêtre pour une énième escapade nocturne, l'ombrage eût la mauvaise surprise de voir la demeure en proie aux flammes. Sans réfléchir, et le cœur tambourinant dans sa poitrine, il se lança à l'assaut du mur et brisa la fenêtre pour pénétrer dans la maison en feu où il trouva Ellie inconsciente. Bravant fumée asphyxiante et chaleur étouffante, il parvint à la sortir tant bien que mal, sous les yeux de son père tout juste revenu d'un dîner mondain.

Le noble était connu et reconnu pour son honneur et ses idées progressistes qui ne semblaient pas plaire à tout le monde, il soupçonna l'incendie d'avoir été orchestré par ses opposants et ordonna immédiatement à ses hommes de se mettre en branle, la famille quitterait la ville au matin.

 « Mais avant... Quel est ton nom mon garçon ? », lança-t-il à l'intention de Wyman.

 « Wyman, mon seigneur. »

 « Tu as sauvé mon unique fille d'une mort atroce, je te dois beaucoup. Demande moi ce que tu veux et tu l'auras. »

Il aurait pu demander de l'or, des montures, des femmes, de l'alcool, un navire. Mais tout ce qu'il désirait était là, endormi sur ses genoux, le front chaud. Lui demander la main de sa fille était évidemment hors de question, alors comment pouvoir continuer à la voir et gagner l'estime de son père ?

 « Acceptez de me prendre comme écuyer, mon seigneur. »

Baelwyn se gratta son épaisse barbe en riant, il ne s'attendait pas à une telle requête.

 « Très bien, Wyman, rendez-vous à l'aube ici-même. »

Balwyn:

Ellie:

Ou avez vous connu le forum? Google !




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