Age : 45 ans.
Surnom : Aucun.
Droitier / Gaucher : Gaucher.
Race : Métamorphe.
Classe : Guerrier.
Métier : Chevalier errant.
Alignement : Chaotique Neutre.
Inventaire du personnage : Cheval de selle avec selle & harnais, Atours de noble, Bijoux (valeur de 5D6 d’or) + rapière.
Or : 14 pièces d'or.
Apparence physique
Siom est un homme au teint cireux, possédant une plutôt grande stature - mesurant environ un mètre quatre-vingt cinq. Malgré cette grandeur, Siom reste une personne fragile, physiquement, voire chétive. Ses cheveux sont lissés vers l'arrière, et sa barbe est joliment taillée, de façon à paraître raffiné et propre aux yeux des gens. Ses yeux sont bleus, sa mâchoire est carrée et son nez est grossier - comme si on l'avait tailler dans un bloc d'argile à l'aide d'une épée - tout comme le reste de son visage qui, bizarrement, ne reflète pas son âge véritable.
Comme le voudraient ses origines, Siom porte des vêtements distingués à la hauteur de son ancien statut social. Vêtu d'une longue veste de couleur verte, celle-ci est assortie d'un jabot blanc ainsi que d'un brocart en soie, posé avec attention sur ses frêles épaules.
Caractère/Mental
Siom est un homme ambigu. Il n'a pas de buts précis, ni un
code moral fixe, il sait cependant ce qu'il veut,
tout. Tout ce qui peut lui être
bénéfique d'une quelconque manière est une opportunité. Sur le plan pratique, la violence n'est pas l'une de ses
manières de prédilections. Il est avant tout un homme intègre et civilisé qui optera pour la diplomatie avant la violence et l'épée. Non pas qu'il soit une "mauviette", une "chiffe molle", ou encore un "pisse-froc", mais celui-ci se répugne - la plupart du temps - à faire du mal aux autres, bien qu'il y soit contraint, parfois. Dans le cas où il y serait forcé, il se résignerait à la tâche - au risque que cela affecte sa conscience, preuve qu'il ait un humanité.
Il est nécessaire de préciser que Siom n'agit que pour son propre bien être, et ainsi, il est dans une moindre mesure, un
individualiste. La liberté et le libre arbitre sont des choses qui lui sont chères, il agira donc en conséquence si on venait en la lui priver. Malgré ce mode de penser, Siom reste une personne plutôt "bonne".
Néanmoins, il n'interfère dans la vie des autres que dans d'extrêmes situations, ou s'il y voit un
bénéfice, comme susnommé.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, en tant que noble, Siom n'aime pas être exposé. Vaguement sobre et réservé en raison de ses origines de métamorphe, il est du genre méfiant. Pas
paranoïaque, seulement méfiant. Il aime avant tout observer, apprendre, et ensuite donner sa confiance. Il n'en est pas pour autant une personne asociale. Il peut parfaitement avoir des relations amicales. Seulement, les relations prendront du temps à se tisser et se développer.
Dons et/ou Talents : • Maniement d’armes exotique (Elfique/Drow)
• Capable d’attirer les ennemis s’attaquant à d’autres membres du groupe. • Arme de prédilection (épée 1 main)
Compétences et caractéristiques :-Classe : Force, Charisme
Coups puissants, Désarmement, Dressage, Équitation, Escalade, Esquive, Estimation, Intimidation, Natation, Saut.
-Métier : Alphabétisation, Bluff, Équitation, Éloquence, Escrime, Jeu, Musique, Résistance à l'alcool
-Race : immunité maladie, déplacements silencieux (rural), Perceptions, Coups Puissants, Vision nocturne (18m)
Histoire
..~oOo~..
Sìom est née en l’an 78, dans la vile des havres, d’une mère humaine, Azabel, et d’un père Métamorphe, Baudelaire. Il eut aussi une sœur, Gisella. Elle est née peu après celui-ci, en faisant ainsi sa cadette.
Leurs parents étaient des nobles plutôt fortunés, qui ne manquaient de rien. La famille Desmer était les descendants d'une grande lignée de Métamorphe qui avait immigré au nord afin d'échapper aux persécutions à l'encontre de leur race par les ignares humains du sud. Les Desmer opéraient entre autres dans le commerce de fourrure; chose plutôt ironique, dans un certain sens.
Méfiants et très réservés, ils opéraient de façon discrète sur le marché des havres, afin de ne pas être victime des mêmes atrocités passées.
Les membres de la famille Desmer étaient depuis bien des lustres décimés à leur détriment. Ses membres furent tués, empalés, ou encore crucifié, en majorité sur les terres du sud, leur terre
natale. Leur immigration soudaine avait pour but de prévenir ses actes de barbarie. Ils espéraient être laissés en paix et ainsi pouvoir reformer une famille. Une famille qui était, autrefois, puissante et grande. Néanmoins, la stupidité humaine l'avait détruite.
Le jeune Siom grandit convenablement, dans un milieu propice à l'enrichissement intellectuel. Entraîné par son père à l'escrime, et éduqué par sa mère à l'écriture ainsi qu'à la compréhension des langues de Galgals, il apprit rapidement de leur savoir.
Comme tout personne ayant une sœur, il aimait celle-ci autant qu'il la détestait. Ils étaient inséparables, et passait le clair de leur journée ensemble, vagabondant dans la vaste demeure, et fouillant les nombreuses étagères qui composaient la grande bibliothèque de la maison, à la recherche de conte pour satisfaire leurs fantasmes infantiles.
À l'âge de vingt ans, Siom fut introduit sur le marché du travail par son père. On lui apprit de nombreuses choses, de façon à ce qu'il puisse plus tard reprendre le flambeau familial, une fois que son paternel ne serait plus de ce monde ou en état de faire quoi que ce soit.
Le jeune homme s'en sortit relativement bien, apprenant rapidement, et saisissant les aspects les plus importants afin d'être marchand.
C’est alors cinq plus tard que se déroula l'evènement « déclencheur ». Celui qui pouvait changer une vie. Comme il l’avait fait de nombreuses fois, son père parti en voyage, afin de rencontrer un potentiel acheteur, en compagnie de sa mère. Il ferait halte à une petite maison – ou un chalet - qui était l'une de leurs propriétés, et continuerait légèrement vers le sud, où ils rencontreraient leur client. L’hiver était proche, et les fourrures étaient des plus demandés. On voulait en faire des vêtements capables de tenir au chaud, ou simplement des couvertures.
Quoi qu’il en soit, ils partirent. Ils partirent, mais jamais ils ne revinrent. Au début, ce que l’on pourrait croire être un simple retard, ne l’était pas du tout. Il passa de plusieurs mois avant qu’on ne les déclare disparus, mot qui était l'équivalent d'un coup de couteau pour Sîom et sa sœur. Bien rapidement, ils en déduisirent qu'ils étaient morts ; des brigands de grands chemins, ou peut-être un accident.
On ne sût jamais, à vrai dire.
Il eut bien entendu des funérailles. Le plus touché des deux fut certainement la sœur. Le jeune métamorphe, lui, accueillit cette disparition avec un cœur de pierre. Comme celle-ci, il était profondément attristé, mais il se contint, ne voulant pas montrer ses sentiments. Siom reprit finalement le commerce de son père, aidé par sa sœur. Bien qu'il fût encore un novice dans le domaine, il s’en sortit relativement bien durant les premières années,.
En cours. 
