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Rivière Sarelin

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Rivière Sarelin Empty110
MessageSujet: Rivière Sarelin   Rivière Sarelin 1x1emp1015/09/16, 11:01 pm
Nom : Sarelin.
Prénom : Rivière.
Age : 93 ans.
Surnom : Riv.
Droitier / Gaucher : Gauchère.
Race : Elfe.
Classe : Rôdeur.
Métier : Eclaireur.
Alignement : Chaotique Bon.

Inventaire du personnage:

• Un arc et des flèches (16).
• Un fouet.
• Un filet.
• 10 mètre de corde.
• Un cheval de selle et harnachement. (Selle et harnais)
• Armure légère.
• Une pèlerine brune à capuche. (Objet supplémentaire)

Or : 13 Pièces d'or.

Apparence physique : Rivière mesure un mètre soixante-dix pour environ soixante-huit kilos, elle est plutôt grande et bien bâtie, un peu rustaude même selon certains. Elle est pourtant très agile et plutôt souple, la foulée ample et le pied sûr. Dotée d’une longue chevelure qui lui tombe sous les omoplates, oscillant entre le roux et l’auburn, sa peau est légèrement hâlée et elle porte une courte cicatrice sur la joue droite.
Ses yeux semblent bruns de loin, mais de très près ou par grand soleil et forte luminosité ils sont en vérité verts et bruns, une hétérochromie de l’iris discrète mais très jolie si jamais on a l'occasion de la distinguer. Les traits de son visage sont plutôt flous, ses dents un peu longues mais sans défaut apparent - il n'en reste pas moins que même pour une elfe Rive est banale et oubliable. Son visage est ovale et son nez un petit peu long et droit. Ses oreilles sont assez longues, du moins plus que la moyenne au point où elles dépassent de ses cheveux un peu en broussaille.

Caractère/Mental : Rivière, ou Riv(e) comme elle se présente parfois, est une personne sympathique, avenante et au demeurant fort inoffensive de prime-abord qui tangue entre le silence et le babillage. La seule vie qu’elle estime et prévaut en temps normal, outre Thenalad, est celle des bêtes en grande majorité – la sienne venant en seconde place. Rivière n’aime pas beaucoup les règles, certaines lui semblent essentielles pour la vie en communauté – qu’elle n’aime pas beaucoup d’ailleurs, mais d’autres semblent servir de décorations et n’ont aucune sorte d’importance dans le cœur de Rivière. Depuis très jeune elle semble avoir un problème avec l'autorité, si elle doit outrepasser certaines règles pour parvenir à ses fins, elle n'hésite pas et au lieu de leur faire une entorse, les fracture allègrement.
Un peu têtue, très détachée, son empathie réside dans le simple fait qu’elle estime que personne ne mérite de mourir de mort violente, par traîtrise ou autres joyeusetés de ce genre – elle n’est en aucun cas juste, simplement soucieuse de laisser la vie s’écouler selon son bon vouloir. Le meurtre ne fait pas partie du destin à ses yeux, et le Destin elle y croit très fort malgré tout ce que cela implique.
C’est ainsi qu’elle reste assez terre à terre.
Si elle reste assez rétive à certaines coutumes d’autres espèces, elle accepte leur existence tout en admettant qu’elle ne s’y plierait pas. Ainsi même si elle a le cœur sur la main, enfin de moitié seulement, elle estime que tout jugement n’est jamais une bonne idée et que l'on est souvent trompé par un jugement hâtif. Enfin, ce n'est pas une bonne idée de le formuler à voix haute, mentalement elle ne se garde pas de s’étonner parfois, de s’outrer plus rarement. Mais elle ne pose jamais de question et même si vous lui mentez elle ne vous en tiendra pas rigueur car elle même ne dit pas toujours toute la vérité. Elle est donc honnête mais conserve une hypocrisie de convenance afin de ne pas se mettre sur la figure avec tout et n’importe qui.
Très à l’écoute de la nature, elle aime sérieusement les animaux, plus que toute autre vie dans le monde, ses deux compagnons de route sont les choses les plus précieuses du monde à ses yeux et rechigne à chasser – même s’il en va de sa survie, mais se force à l’ouvrage quand la nécessité fait loi, là ou elle peut le faire en toute paix.

Dons et/ou Talents :

- Race : Immortalité (longévité).
- Classe/Métier :
• Compagnon Animal : Renard. (Nom : Follet)
• Ennemis Jurés : Nocturnes.
• Empathie Sauvage.
• Détection. Soin. Camouflage. (Sorts)

Compétences et caractéristiques:
-Classe : Alphabétisation, Artisanat, Connaissances (géographie), Connaissances (nature), Connaissance des pièges, Déplacements silencieux (rural), Détection, Pistage, Premiers secours, Survie, Utilisation d’objet magique.
-Métier : Combat monté, Connaissance géographique, déplacements silencieux (rural & urbain), détection des pièges, équitation, escalade, fouille, perception, pistage, soins des animaux.
-Race : Immunité contre les sorts de type sommeil. Perception auditive, vision nocturne (18m).

Histoire: C’est dans la Forêt d’Amethy que Rivière vit le jour, en automne il y a quatre-vingt-treize ans.

On lui donna la date exacte une fois, depuis elle l’a oubliée. Elle-même ne saurait pas dire si elle l’a oubliée ou qu’elle n’a simplement pas envie de s’en souvenir – de toute manière elle ne fête pas le jour de sa naissance. Quand elle était une enfant d’une dizaine d’année elle s’était préoccupée de l’origine de son prénom. En effet, personne n’est sans remarquer que le prénom ne colle pas à ladite Rivière. Elle serait plutôt proche du feu ou du bois, de la terre, de quelque chose de moins froid, moins gracieux, moins aqueux en somme… Mais là encore c’était des questions d’enfant, depuis elle ne se pose plus ces questions, et quand on lui demande l’origine de son prénom elle hausse les épaules.

Rivière ne sait pas si les enfants jouent ailleurs, elle n’a jamais joué en soi, sa source d’amusement c’était parcourir la forêt et apprendre tout ce qu’il fallait savoir sur la vie végétale et animale. Plutôt bonne élève mais très peu portée sur l’obéissance, vaguement solitaire sur les bords, c’est quand elle atteignit dix-sept années qu’elle s’intéressa à un métier qui pourrait lui convenir, en fait elle voulait se rapprocher de Thenalad et à la fois voir le monde. Elle était curieuse de parcourir ce monde, mais à la fois était trop attachée à sa chère forêt, il fallait en prendre grand soin et elle s'y consacrait pleinement.

Sa relation avec sa famille est plutôt simple et normale, ses parents sont aimants mais pas très démonstratifs, elle a un frère aîné, qui porte soixante ans de plus qu’elle, avec qui elle a du mal à s’entendre – mais ils se tolèrent très bien et leurs géniteurs n’y voient que du feu. Là où son frère est un bon élève, ou avait été un bon élève, Rivière est butée et contestataire. Tout cela va se calmer quand elle atteindra cinquante ans, cela parait vieux mais pour un elfe on est encore un enfant à cet âge, plus mature que d’autres races, mais encore un enfant pour ses pairs tout de même.

C’est à cinquante ans donc, déjà douée à l’arc – douée mais en aucun cas surdouée, l’hésitation et la peur de tuer n’aidant en rien, et possédant de solides bases équestre que Rivière veut voyager…
Pas trop loin ! Elle reste aux abords d’Amethy, elle ne s’en éloigne que de trois jours de marches maximum, elle résiste bien dehors, la belle étoile ne l’effraie pas et elle semble attirer les animaux peu farouches. Son cheval de l’époque, une jument rouanne qui avait les genoux cagneux, meurs alors âgé de presque vingt ans. Un âge plus qu’honorable pour un cheval, qui ne termine sa croissance que passé les six voire sept ans. Pas de mort violente, mais simplement de vieillesse, il meurt en pleine nuit alors que Rivière dors à trois pas de la bête. Rivière sait que ces choses-là arrivent, elle les accepte pour ce qu’elles sont, le fil naturel de la vie, la naissance, l’existence puis la déchéance.

C’est au Val D’Ormeaux, alors qu’elle cherche une nouvelle monture qu’elle rencontre des éclaireurs venus se ravitailler. Curieuse elle écoute les conversations – certains dirons que c’est la faute de ses grandes oreilles, et s’intéresse au métier. Jusque-là elle n’était qu’une âme errante qui parcourait sans raison la nature, à coup d’animaux soignés et parfois de pièges de braconniers détruits. C’est d’ailleurs le mécanisme d’un piège à ours qui lui égratigna la joue, rien d’honorable ni d'épique, le mécanisme était à moitié enrayé et en le libérant une pièce s’est cassée et retrouvée projetée au visage de l’elfe. Elle réussit un convaincre un maître en la fonction d’accepter de l’éduquer sur le sujet, il accepta, elle avait déjà près de soixante ans.

Pendant douze ans, Rivière se présenta comme une simple élève. C’est ce qu’elle est, elle l’accepte, elle reste aux alentours D’Ormeaux mais retourne parmi les siens pour les fêtes et rituels en l’honneur de Thenalad. Pour sa quatre-vingtième année, elle rencontre sa future monture. Un poulain de trois jours, bai cerise, un mâle farceur plutôt costaud et qui ne toiserait qu'à peine le mètre soixante au garrot une fois adulte. Il fit un formidable compagnon, elle participa à son débourrage et éducation, pour tisser le lien essentiel entre le cavalier et sa monture. Lorsque le bourrin eut cinq ans, on estima qu’il ne grandirait plus de taille, sa croissance ne modifierait que des détails invisibles à l’œil nu dorénavant.

Ne sachant pas comment le nommer, elle opta pour Cerisier, peut-être en raison du nom de sa robe. En vérité elle le surnomme plus souvent Riri ou Bonhomme qu’autre chose. Le sympathique canasson depuis l’accompagne partout où elle va, et s’il s’éloigne il suffit de siffler ou qu’elle hausse la voix un coup et le filou revient au grand trot, les crins en étendards.

La dernière de ses aventures eut lieu il y a trois ans, elle rôdait – surveillait surtout, les abords d’Amethy, quand dans un bosquet épineux elle entendit couiner. S’y trouvait une renarde – morte la pauvre chose, blessée par une flèche donc l’empennage avait dû se briser, et sous la renarde se trouvait un renardeau. Rivière prend en pitié tout et surtout les animaux, et il serait mal avisé et contre sa nature de le laisser mourir là, tout seul. Elle l’enveloppa dans sa pèlerine et l’emmener avec elle, calé entre son abdomen et l’arçon de sa selle. Depuis ce petit goupil, Follet de son petit nom – à cause de sa nature énergique et joueuse, suit Rivière partout, elle s’occupe de lui si en échange ce dernier renifle le danger.

Jusqu’ici Follet n’a couiné le danger que deux fois, pour un loup et pour deux loups. Mais qui sait quels danger il pourrait bien avertir la prochaine fois…


Remarque?

Vous êtes très beaux, très complets, très intéressants et je suis contente de vous avoir trouvés. Je suis du genre timide (je ne me vexe pas, ni ne dédaigne compliment ou critique, je ne sais simplement pas comment y répondre, ainsi il ne faut pas m’en vouloir si je me montre maladroite) et anxieuse.
Il ne faut pas hésiter à me pousser un peu, je travaille sur ma timidité et mon introversion mais ce n’est pas facile.
Je ferais de mon mieux pour assimiler vite et bien ! C'est promis.

Ou avez-vous connu le forum?

Recherche Google, qui me mena sur la Tour de Jeu, qui me mena donc ici.

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