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Rangdor D'Irifuse

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Rangdor D'Irifuse Empty110
MessageSujet: Rangdor D'Irifuse   Rangdor D'Irifuse 1x1emp1019/02/11, 05:53 am
Nom: D'Irifuse

Prénom: Rangdor

Age: 21 ans

Surnom: Aucun

Droitier Gauche?: Gaucher

Classe Magicien

Métier: Alchimiste

Race: Humain

Alignement: Loyal Neutre

Inventaire du personnage:1d4 livres d'Alchimie, bâton de Sorcier, arme simple(Dague),

Or :

Apparence physique:
Il porte de longs cheveux noirs lui arrivant aux épaules. Il aime les laisser décoiffer, ne se souciant pas vraiment d'esthétique capilaire. Il émane une svelture comparable à celle des Elfes, ce qui est rare chez les humains, en habitudes forts d'apparence. Ses yeux sont d'un bleu glacé, analysants chaque chose en détail autours de lui sans cesse. Il mesure 1m75 et pèse approximativement 68 kilos, ce qui est léger pour un jeune homme de son âge.

Il aime s'habiller d'une toge noire faite de tissu semi-précieux à capuchon qu'il appelle lui-même ''le meilleur vêtement du voyageur''. Pratique, léger et selon ses goût très beau, la toge est encerclée d'une ceinture de cuir sur laquelle est ratachée plusieurs bourses de diverses tailles correspondant aux différentes composantes pour ses sorts ou seulement pour y renger des objets insolites ou de l'or.

Caractère/Mental:
Rangdor est d'un naturel pragmatique. La logique est très importante pour lui, étant magicien et alchimiste. Tant qu'il ne sera pas certain d'une chose, il ne se prononcera pas sur le sujet. Si quelque chose n'est pas vérifiable ou concret, elle n'existe pas. Il peu parraitre distant ou froid mais il n'en est rien. Il est vrai qu'il est très introverti mais pas insociable. Ayant toujours préféré étudier les arts ocultes que la sociabilisation, Rangdor ne parle pas beaucoup, disant ce qui est nécessaire quand c'est nécssaire. Il n'est pas mauvais mais il ne se sent pas obliger de faire profiter son voisin par des ''politesses inutiles'', comme il avait l'habitude de dire. Il est cependant loyal envers ses proches, qui ne sont pas très nombreux.

Pouvoir:
-Protection contre le Mal
-Projectile magique
-Hantise
-Infravision


Histoire:
Du plus loin qu’il se souvienne, Rangdor a toujours vécu dans les Havres, dans une communauté de pêcheurs et de marchands car le commerce du poissons et des autres fruits de mers étaient important pour les citoyen de la cité blanche qui ne vivait pratiquement que par cette activité. Depuis des générations, la famille D’Irifuse a toujours été près de l’océan, tous pratiquant de père en fils le métier si utile pour les Havres.

Rangdor est né il y a de cela vingt et une année sous un ciel étoilé où, par hasard, se produisait une pluie d’étoiles filantes. Certains loups de mer, tous superstitieux, se disputait à savoir si cette enfant serait une bénédiction ou une malédiction pour le peuple nordique. Sous un trop grand effort, sa mère mourut en couche après avoir mit au monde l’enfant juste après lui avoir donné le nom de son arrière grand-père qui voulait dire en ancien dialecte: «L’enfant des étoiles».

Vers l’âge de quatre ans, l’enfant commença à se promener quotidiennement avec son père sur les plages des Havres. Celui-ci lui montrait les eaux profondes et infinis qu’était l’océan du monde des Galgals. Il lui racontait que plusieurs aventuriers qui voulait découvrir le monde empruntait ce chemin maritime pour voir le monde dans toute sa magnificence. Le jeune Rangdor enfouit se rêve au plus profond de son âme. Il aurait tellement aimé voyagé de long en large le monde. Sillonner celui-ci afin d’y voir chaque êtres vivants peuplant cet étendu gigantesque. Après quelques années, son père arrêta les promenades avec son fils car plus il vieillissait plus sa santé devenait précaire: son souffle devenait court rapidement; il préféra donc le laisser à la maison afin que l’air humide des côtes ne le nuise en rien. Mais quelque chose de magnifique se produisait aussi plus il vieillissait: il ressemblait à sa défunte mère et son père remerciait les dieux chaque nuit du soi-disant signe que lui envoyait sa femme par les traits fins et délicats de son fils.

À l’âge de l’adolescence, Fenris, son père, essaya mais en vain de lui montrer le métier de pêcheur mais le cœur du jeune Rangdor était ailleurs. Il ne regardait pas les poissons mais les eaux: calme et mystérieuses. Fenris le regarda avec tristesse, comprenant que son fils ne serait jamais un pêcheur. Soudain, une idée lui électrisa l’esprit. Le soir même, pendant que tous deux soupaient, il proposa à son fils d’intégrer un groupe de jeunes gens comme lui qui voulait apprendre les arts occultes, la magie. Rangdor semblait heureux d’apprendre la nouvelle et devint si excité à l’idée de commencer les cours qu’il alla préparer ses valises de suite après le souper, qu’il desservit et nettoya tellement il était reconnaissant.

Terminant ses valises, toutes joies quitta son visage et il entra dans la cuisine où son père regardait les étoiles par la fenêtre, se remémorant la naissance de son fils unique. Fenris semblait triste mais heureux à la fois, un sourire étant dessiné sur son visage. Le jeune fils avança vers son père et il lui demanda s’ils allaient se revoir. Le père sourit et lui répondit que même si plusieurs années les séparait, ils allaient se revoir. Rangdor voulut s’agripper à son père mais celui-ci le repoussa doucement, regardant dans les yeux bleus du futur mage. «Tu as les yeux de ta mère», dit-il en souriant.

Une semaine s’écoula avant que Rangdor ne quitte le nid familiale. Fenris l’avait emmené loin de leur maison en plein quartier de la cité blanche des Havres. Ils s’arrêtèrent devant une grande tour toute aussi blanche que le reste de la ville. Rangdor y laissa son père à regret et entra dans sa nouvelle vie sans regarder derrière lui. Il fut accueillit par un homme haut de taille mais maigre et osseux. Un sourire était dessiné sur ses lèvres, ce qui le montrait comme étant inoffensif. Il était le maître des lieux et serait son mentor pour les prochaines années qui s’écouleraient plus rapidement que le jeune homme aurait cru.

L’apprenti mage avait maintenant presque l’âge adulte et sa maîtrise de la magie devenait de plus en plus affinée. Il connaissait des sorts que les élèves du même âge que lui ne connaissait même pas et apprenait beaucoup de chose dans ses temps libre, la bibliothèque étant son lieu favori pour se retirer en toute intimité.

Un jour où il étudiait pour un de ses examens finaux qu’il savait gagné d’avance, un enfant de son âge se présenta à la tour. Il ne ressemblait pas aux autres élèves et de fait il n’en était pas un. Il était musclé et très grand . Il ressemblait davantage, même s’il n’était âgé que d’une quinzaine d’année, à un vrai guerrier. Il était là pour étudier la lecture et l’écriture avec l’un des instructeur magicien qui se savait aussi professeur. Sur ce fait, Rangdor n’en tint plus compte.
Deux jours passèrent et le jeune mage eut pour ordre d’aller chercher les parchemins vierges qui serviraient au cours de la matinée. Il connaissait le chemin menant au magasin d’Artéfact magique qui se trouvait en plein centre de la cité blanche des Havres. Voyant qu’il serait en retard, il bifurqua vers un chemin plus court et plus sinueux. Comprenant son erreur, il regarda les trois crapules l’entourer, avides d’or et de sensations fortes. Ceux-ci riaient en tournant autours de leur proie tels des vautours gourmands devant une carcasse abandonnée. Ils le poussèrent, se moquèrent et le frappèrent, le dépouillant de l’or sur lui prévu pour payer les parchemins. Tombant au sol, Rangdor mémorisait une formule magique et s’apprêtait à la prononcer quand arriva un autre homme. Sans attendre, celui-ci s’élança vers le premier bandit qu’il assomma d’un unique coup de poing. Évitant le crochet vicieux d’un autre, il empoigna son poignet et le propulsa à terre, lui coupant le souffle. Recevant un coup de poing du troisième larcin, il l’encaissa sans mal. Envoyant un coup de tête, il le fit tomber, le mettant hors combat. La main du sauveur agrippa Rangdor
et le souleva. Le jeune homme n’était nul autre que Christophe Vivelame, le jeune homme qui venait apprendre l’écriture. Il lui sourit et le mage répliqua, se promettant une amitié éternelle.

À 21 ans, cette année, il passa son épreuve afin qu’il soit reconnu comme étant un mage à part entière et non plus un apprenti. Ce test s’avéra être un examen théorique suivit d’un pratique qui était épuisant et parfois même dangereux. Il passa haut la main l’épreuve et en fut comblé. Son seul regret fut de n’avoir jamais revu Christophe qui était parti le lendemain de son sauvetage en ville. Quelques heures plus tard, dans ses quartiers, il vit, posé sur sa table de travail, une lettre lui étant destinée. Elle provenait de Christophe qui lui faisait savoir qu’il arriverait aux Havres dans quelques jours et demandait à le voir. Il en était heureux. Ainsi, encore une fois, il quitta sa maison pour découvrir de nouveaux lieux et vivre une nouvelle aventure.

Remarque?: J'aime le style hors du commun pour un forum de rôle-play. Étant un fan de D&D, je vais m'y plaire.

Où avez vous connu le forum?: Par mon frère: Christophe Vivelame.



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