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Ciyran Tra'endil

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Ciyran Tra'endil Empty110
MessageSujet: Ciyran Tra'endil   Ciyran Tra'endil 1x1emp1003/12/23, 02:23 am



CIYRAN TRA'ENDIL



Age : 30 ans

Surnom :

Droitier / Gaucher : Gauchère

Race : Demi-elfe

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Classe : Rôdeur

Métier : Éclaireur
--------------------

Alignement : Neutre Bon

Inventaire du personnage : arc et munitions(16), 1 filet, 1 fouet, armure légère (veste de cuir), 10 mètres de corde, cheval de selle avec selle et harnais, cape de fourrure

Or :

Apparence physique : 63kg / 1m73

Ciyran à des courbes féminines discrètes, difficile à déceler sous sa veste de cuir et sa tunique, lui donnant une allure garçonne. Si ce n’était de ses oreilles pointues, on pourrait facilement la confondre à une humaine et oublier son héritage elfique.

Elle a un visage rond aux pommettes hautes, parsemées de tâches de rousseur. Une cicatrice longe le haut de son sourcil gauche jusqu’à la limite de sa joue. Ses cheveux blond pâle sont tenus en chignon, mais détaché ils retombent juste en-dessous de ses épaules.

Elle arbore un bandeau en cuir pour accentuer sa coiffure et éviter les mèches folles de lui retomber devant le visage. Ciyran a une petite bouche dotée de minces lèvres. Ses yeux de biche ont des iris brun foncé, contrastant avec ses sourcils blond, disparaissant presque sur son teint également pâle. Sous ces mêmes yeux, des cernes prononcées, sans doute causé par de trop nombreuses nuits écourtées.

Caractère/Mental :

Son sang mêlé ne fut jamais la cible de haine, pourtant il aura jusqu’à ce jour une emprise sur son cœur et son âme, lui causant une profonde confusion quant à son appartenance dans ce monde. La destruction des elfes est source de grand désarroi, si elle aurait souhaité renouer avec ses origines elfiques, ce choix lui a été volé. Cette héritage fait d’elle une personne tolérante envers les croyances et les convictions divergentes des siennes.

La vie d’errance de son métier ne l’importune pas comme elle préfère la solitude comme compagne, et cela lui donne assez de temps pour que les plaisirs de la ville viennent à lui manquer. Ciyran a bon cœur malgré sa nature pessimiste. Elle voit le monde sous un voile noire de souffrance et de malheur qu’elle peine à contrôler. Elle est une personne intègre, le masque qu’elle dévoile aux autres est authentique, mentir ne lui servirait qu’en dernier recours.

Attitude paradoxale : Pessimisme & Joie de vivre

Ciyran est de nature pessimiste certes, mais cela ne l’empêche pas de profiter de la beauté que le monde peut lui offrir. Cela fait d’une mère et d’un père jouant avec leur enfant par exemple quelque chose à célébrer. La beauté est souvent trouvé dans ses petits détails a priori bénins. Son pire regret serait qu’elle n’aurait pas su profiter du moment présent avant que celui-ci ne lui échappe.

Faiblesse: Véritable

Handicap : Peur de l'eau

Ciyran évitera la noyade de peu lors de la traversée d'une large rivière. Depuis, elle aura particulièrement peur des larges rivières ou des forts courants d'eau comme des rapides par exemple.

Dons et/ou Talents :
Empathie sauvage,
Ennemis jurés : +1 en tentative contre les Ombres,
Compagnon animal ; Coyote,
Soin

Caractéristiques :

DEXTÉRITÉ,
SAGESSE : Aventurier
- Compétence supplémentaire ; Connaissance des Ombres
- Compétence supplémentaire ; Bluff

Compétences :
-Race : Immunité contre les sorts de type sommeil, Perception auditive, Vision nocturne (18m)
-Classe : Artisanat, Connaissances (géographie), Connaissance (nature), Connaissance des pièges, Déplacements silencieux (rural), Détection, Équitation, Perception, Pistage, Premiers secours, Survie
-Métier : Combat monté, Déplacements silencieux (urbain), Détection des pièges, Escalade, Fouille, Langage de guerre, Pathologie

Histoire :

Ciyran naîtra en sécurité derrière le mur d’enceinte de Bellefosse. Sa mère, une elfe sylvestre, ne pourra jamais s’acclimater à la société des Hommes et repartira pour les siens, laissant sa fille entre les mains maladroites, mais tendres de son père. Elle ne reviendra jamais plus à ce bourg. Son paternel, un mercenaire de grands chemins, se serait établit en ville malgré son nomadisme jusqu’à ce qu’elle atteint l’adolescence. Il l’aura alors jugé assez vieille pour qu'elle prenne la route avec lui. Il lui montra à survivre sur ces terres sauvages, parfois impardonnables.

Un jour, à la suite d’un déluge, Ciyran fut emporter par les courants violents d’une rivière qu’ils tentaient de traverser. Son père avait réussi à rejoindre la rive voisine et la prit en poursuite sur la berge. Par miracle il arriva à l’extirper de l’eau à l’aide d’une corde. Haletante et traumatisée, elle aura appris à ne jamais sous estimer la puissance d’un courant. Elle aurait bien pu y passer et entrainer son père avec elle. Depuis ce jour, elle éviterait les eaux troubles, les contournant entièrement si possible.

À l'âge adulte, elle rejoindra l'ancien groupe de mercenaires dont son père faisait autrefois parti. Des hommes et des femmes aux visages qui lui serait bientôt familier. Elle adoptera rapidement le rôle d'éclaireur, étant la plus petite et la plus discrète de la bande. Lors d'une nuit ou elle campait seule éloignée des siens, elle entendit les gémissements faibles d'une bête. En suivant la source du bruit elle découvrira un jeune coyote, la patte avant prise dans un piège d'ours. Abandonné à son sort, la pauvre bête s'était déjà mise à la ronger, désespéré à se libérer.

Le prenant en pitié, Ciyran s'approcha doucement, un morceau de viande tendu en guise d'offrande qu'elle déposa devant le canidé alors qu'elle se mis en œuvre sur le piège. Elle réussira à l'ouvrir, mais la bête sursauta à ses côtés et elle manqua de peu d'y laisser sa main. Il aurait fuit sans attendre, la viande dans sa gueule. Quelques jours plus tard, ce même coyote avait du la suivre alors qu'il s'approcha de son campement, la queue basse et les oreilles vers l'arrière, craintif, mais affamé. Elle lui aura lancé le lapin qu'elle avait chassé plus tôt. Une amitié inattendu naîtra de cet échange.

Lorsque la mort frappa le monde de Galgals, Ciyran fut séparé de son père et de son groupe. Alors parti en éclairage comme à son habitude, elle ne retrouva que les cendres froides d'un camp abandonné en vitesse à son retour. Elle partira pour Bellefosse,sa ville natale, dans l'espoir qu'ils y seraient réfugié à temps.

Remarque?

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